
Théâtre de l’Œuvre Marseille, Théâtre du Lacydon, Cercle Saint Michel, Théâtre des Bernardines, Théâtre de l’Oeuvre Paris, Abbaye de Silvacane, Théâtre de Verdure, Théâtre Silvain, Théâtre de La Sucrière, Fondation Camargo, Le Méjan, Théâtre du Pot au Noir, 23èmes Rencontres Internationales de Théâtre en Corse, Festival Théâtre en Herbe, Festival Théâtre sur un plateau, Théâtre La condition des Soies, Théâtre de Verdure, Théâtre Comédie Odéon Lyon, Le château de Montauban :
ÊTES-VOUS DES SADISTES ? VOUS AUSSI VOUS ÊTES PÉDOCRIMINELS, MISOGYNES, SEXCLAVAGISTE, VIOL-ENTS, ET ZOOCRIMINELS ?
N’AVEZ-VOUS PAS HONTE D’INVITER PHILIPPE CAUBÈRE, CE MONSTRE PSYCHOPATHE ?

Lisez son torchon misogyne « Les Carnets d’un jeune homme », écoutez ses interviews, lisez ses tribunes, il revendique tout lui-même : qu’il frappe, qu’il se retient de tuer, ses goûts pédocriminels, sa zoopornocriminalité, sa vision des femmes comme des sphincters dans lesquels il faut chier, pisser, dégrader de milles coups et insultes.

Comme la police, les tribumâles, les journalistes et les éditeurs, vous-aussi vous voulez être COMPLICES de ce grand pervers Sadiste qui :
- Revendique régulièrement le droit d’acheter le viol des femmes
- Viole des femmes et jeunes filles
- Raconte sodomiser les chiens
- Affirme à plusieurs reprises se branler devant les corps des victimes de la Shoah
- Défend la torture des taureaux, et se bat contre l’interdiction pour les moins de 16 ans d’y assister
- Fait l’apologie de la haine des femmes
- Frappe et violente des femmes
- Admire le grand criminel gynocideur Sade et se branle sur ses récits de torture, viols et meurtres
- Aimer chier et pisser sur ses victimes

Vous soutenez l’homme qui dit et écrit entre autres :
« J’avais découvert des livres sur des camps de concentration, on voyait des femmes à poil, je me suis branlé devant. J’étais là dessus comme les 120 journées de Sodome, d’ailleurs Sade est, pour moi, un visionnaire. »
« Qui suis-je alors ? Et quand écumant, je sermonne mon entourage ? Ou quand jaloux, je frappe Clémence ? Et quand je l’aime, lui susurre des gâteries, des complaisances ? Qui est-il celui-là qui rêve de stupre, et cet autre qui parle d’amour ? Celui qui fait des gestes tendres, et l’autre qui laisse la pisse couler de sa queue au moment le plus mal choisi ? »
« Je te fous par les rides. Je me débonde sur ta gueule comme si je te pissais dessus, mais en mieux. Je coule par la queue sur ton visage. Je te fais violence, et toi tu reçois avec grâce ce paquet de colle à caoutchouc. Tu pleures comme pleurait une statue de marbre, livide, pure et fragile. Des larmes blanches tel le plâtre perlent sur tes joues et glissent entre tes seins. »
« Une colère incompréhensible m’envahissait, j’avais envie de la tuer. En attendant je la baisai furieusement. »
« On m’apprit la misogynie. On me força à adopter les comportements les plus agressifs. On m’apprit que les filles étaient des êtres inférieurs qu’on avait pour devoir, pour mission même, de foutre à poil, de tripoter et d’enculer ».
« J’écrivis une nouvelle où j’imaginais ce que j’aurais pu lui faire si j’avais accepté. Tout y passait : branlages, suçâtes, pompages et encollages les plus divers ! Pissages et merdages s’enchaînaients même joyeusement, ou plutôt atrocement. Le foutre finit par en coller les pages tant je m’y branlais. »
« Un jus épais coule sur les cuisses infantiles. Les lèvres d’en bas grosses comme des bananes pelées battent au rythme du coeur. L’odeur des sexes monte, fumet rare qui fait bander les hommes, dans la fumée du feu de bois, âcre vapeur qui fait pleurer les yeux. Les queues fourchues s’approchent, et la fête commence. »
« C’est pour dire quel effet me font ces femmes qui si tranquillement, vendent ou louent leurs culs, leurs cons, leurs bouches, bref, combien peu cher coûte à l’homme l’avilissement d’une femme, ou même juste qu’elle fasse semblant pour lui d’être avilie ! »
« Un animal – croyez-en mon expérience -, vous pouvez lui enfoncer une aiguille à tricoter dans le derrière – ou dans l’occiput, si c’est plus dans vos idées, eh bien, il ne se rebellera pas : il geindra, il pleurera, il ira même jusqu’à se laisse mourir, mais il ne vous en voudra pas. »
Comme les éditions Denoël et Joëlle Losfeld qui ont publié sa prose gynoicidaire, ainsi que les éditeurs de Sade -Pléiade y compris – vous allez vite devoir répondre de votre complicité dans la révérence à l’apologie du crime misogyne, la poursuite de l’appel à la haine des femmes et au terrorisme violeur. Que faut-il faire pour que les hommes arrêtent de nous violer ? Arrêter de propulser les violeurs à la présidence des États, sur les podiums des scènes , de les éditer, de produire leurs films, leurs spectacles, d’applaudir leurs crimes !
A l’heure ou sort le #metootheatre et ou des centaines de femmes courageuses osent prendre la parole contre leurs tortionnaires, allez-vous choisir d’ignorer les victimes dont celles de Philippe Caubère ?
ALLEZ VOUS VOUS INDIGNER ET LE DÉPROGRAMMER ?
OU ALLEZ VOUS DÉFENDRE UN CRIMINEL ?
QUI SERA LE PREMIER THÉATRE A LUTTER CONTRE LA CULTURE DU VIOL ? L’IMPUNITÉ PÉDOCRIMINELLLE ?
#metootheatre #CaubèreMolièreduViol #CaubèreActeurSadiste #BalanceTonSade #BalanceTonPorn #BurnSade