
Psychopathe de basse fosse septique en liberté
Je suis…
…les centaines de victimes de ce psychopathe en liberté protégé, édité par des pairs en tortures de femmes. Lisez sa prose, tout y est revendiqué dans « Les carnets d’un jeune homme » . Flics, avocats, journalistes, éditeurs, tous complices de l’immonde révisionnisme de Caubère qui affirme que toutes les femmes sont des « putes » qui aiment leurs propres avilissements. Je suis accusée en diffamation pour le taxer de « prostitueur » et « serial violeur » et la horde des gynocideurs ne se rend même pas compte que les 2 crimes sont un pléonasme.
Caubère est un monstre , un grand criminel de basse fosse septique coupable d’actes de barbarie. Vous n’avez même pas besoin de me croire moi ou les autres femmes qui déclarent avoir été violées et que la police a intimidé pour qu’elles se taisent, TOUT est affirmé dans son livre : qu’il frappe, qu’il se retient de tuer, ses goûts pédocriminels, sa zoopornocriminalité, sa vision des femmes comme des sphincters dans lesquels il faut chier, pisser, dégrader de milles coups et insultes. Rares sont les survivantes, mais elles parleront ordure, met moi en prison je m’en fout, j’y suis déjà sur ta planète misogyne, avec moi tu as réussit ton plan depuis bien longtemps, j’y ai perdu un de mes enfants, mon corps qui sous le trauma n’a plus jamais eu ses règles, ses seins, tu as fait disparaître la mère car c’est elle que tu veux par dessus tout tuer. Le matricide est ton plan ultime, tu es la littérature du porno, tu exerces le même délire du verbe et de son passage à l’acte systématiquement, tu es le Sade contemporain. Tu affirmes -sans être encore à l’asile- que les femmes sont par nature masochistes et exigent que les hommes les violent , les tuent, et surtout les dégradent . La fonction politique du porno en dicktature c’est de répandre l’idée en en filmant la torture que les femmes sont des viandes qui raffolent de leurs embrochements, tu poursuis le Mein Kampf de la misogynie en délirant sur plus de 600 pages ta hargne contre les femmes qui n’avouent pas aussi fort que tu le rêves leur statut d’antre à pus dont même les mouches fuient l’immondice. Tu n’es pas encore diagnostiqué comme le dangereux criminel que tu es et dont la société entière a plébiscité en génie de théâtre plutôt qu’en psychopathe agissant ses coups, perversions et délires verbaux sur une scène de théâtre. Tu tries là où tu sais que le lyrisme apologisant la torture des taureaux te laissera impunis, là où l’alibi du fantasme, de la rêverie, du rêve ou du RÉCIT sèmera une confusion sur le niveau de réalité dans lequel tu agis. Quand tu avoues en interview que ton rôle de proxénète violeur et frappeur que tu incarnes dans une fiction de cinéma c’est toi, personne ne réagit à cet aveu, aucune instance sociale met le holà qui sauverait d’autres femmes. Quand tu répètes que tu te branles devant les corps décharnés des femmes victimes de la Shoah, personne ne porte plainte ?… Parce que moi cette confidence quand tu me secouais m’a rendu folle pour plusieurs années. J’ignorais à l’époque que ce dire était public…. Ta tête chaude, obsédée et insatiable en crimes pervers n’a pas cesser depuis cinquante ans d’exercer ses scenarii avec moult jeunes femmes, souvent très très jeunes, souvent déjà dissociées par d’autres viol ences commises par d’autres hommes avant toi. Tu sélectionnes savamment celles qui ne pourront parler ou dont la parole ne vaudra rien dans l’enfer patriarquie, la parole des survivantes que TU NOMMES les « putes« , celle des enfantes qui parleront un jour, bientôt, qui m’ont parlé à moi déjà de la bite que tu enfournes dans leur bouche de 16 ans quand tu en as 50 et que tu as séduit la mère pour atteindre la fille. Sarah, Pauline, Isabelle, Maïté , moi et les myriades d’autres ………..
Les éditions Denoël et Joëlle Losfeld , ainsi que les éditeurs de Sade -Pléiade y compris – devront vite répondre de leurs complicités dans leurs révérences à l’apologie du crime misogyne, ses récits décomplexés, la poursuite de l’appel à la haine des femmes et au terrorisme violeur que constitue l’édition de la revendication des fémicides. Que faut-il faire pour que les hommes arrêtent de nous violer ? Arrêter de propulser les violeurs à la présidence des États, sur les podiums des scènes , de les éditer, de produire leurs films, d’applaudir leurs crimes. Sortir de l’hypnose des pervers, des viols sous emprise. Tu m’as alpagué par un lyrisme romantique d’une victime dont le père venait de mourir, dont la sœur était mourante, tu disais être sous anti-dépresseur et j’ai dû te relever dans le couloir parce que ton nez saignait abondamment, je demandais inquiète ce que tu avais, tu me répondis « Je saigne quand je suis amoureux« , 5 minutes après tu me frappais, me secouais, m’enfournais ta bite dans la bouche en attrapant mes cheveux pour manier le piston, m’étranglais, hurlais « prend ça salope« , « je t’encule maman ! « …….Je n’étais plus là, j’ai décollé de moi, me suis vu d’en haut, en mort imminente. Je suis handicapée à vie, les neurones de mon cerveau qui ont disjoncté ce jour là font de moi une amoindrie à vie. Plusieurs années de dépression suicidaire plus tard et en rencontrant les récits d’autres survivantes ayant croisé le diable que tu es, je compris que ton nez saignant correspondait à la prise de viagra. Tu es depuis longtemps impuissant et tu m’as violé sous viagra. Tu es logiquement en liberté sur la planète bitocratie qui érige la tuerie des femmes en norme morale. Oui, je suis l’ombre de qui j’étais avant que tu fabriques mon désenfantement, que tu tues la mère en menaçant les petites filles de viol . Oui tu as tué des centaines de femmes dans les femmes, certaines littéralement c’est certain, mais dans tous les fantômes que tu as façonné par violences perverses, il reste encore quelques ombres, tu as fait quelques erreurs stratégiques dans l’évaluation de celles qui auraient la force du retour de flamme …
Mes sœurs, pour vous, pour nous, pour les femmes contraintes de vendre leurs tortures pour survivre à la faim, pour que les petites filles du monde connaissent autre chose que pornoland, dites à toustes ce qu’il fait.
Dites qu’il fait bien ce qu’il dit………………………….
Car dénoncer l’infâme n’est pas diffamation , c’est justice en action .
Solveig HALLOIN , 18 Juin 2021 , jour du procès en diffamation du monstre contre ma plainte qui n’a pas fait l’objet d’une enquête (comme me l’a confirmé une autre victime appelée au téléphone par la police )…