
Article 222-23 du Code pénal, « Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui ou sur la personne de l’auteur par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol»
Ta viande c’est son viol, ta viande c’est sa vie, ta viande c’est son ventre.
Bien avant les cascades de sang des abattoirs, bien avant le trou noir de l’espace temps où l’effroi s’exerce banalement, elle était une fois les juments des fermes à sang. Car avant l’industrie des chaines d’exécutions, avant même les camps de naissages, il y a les camps d’avortements . L’équicide par marathon abortif et siphonnage sanguin. Violées, vidées, avortées, enfermées, les femelles martyres des camps de carnage seront assassinées exsangues pour faire viande, leur production hormonale essorée jusqu’à la dernière goutte d’ECG pour que puisse régner mondialement le zoolocauste nataliste. La torture des chevalines a pour fonction l’éclatement global de la torture . L’élevage est un permagénocide mondial par holocauste fractale . Des assassinats président à d’autres assassinats, les femelles et les mâles équidé.es sont violé.es pour que d’autres fertilités soient avancées, pour que les viols démarrent à une puberté précocisée: gestacide faisant bébé pubère, bébé violé, enfante désenfantée. L’ECG volé inoculé aux milliards de femelles du peuple de bouche fera sur-créations d’ovules, transplantations dans les matrices à viande, booste de prolificité, bébés géantisés. Les juments coupables de posséder une hormone convoitée par les nazillards de l’extermination perpétuelle sont équicidées pour la planification industrielle des natalicides de la filière du crime .
Les fermes à sang sont la clef de voûte du zoolocauste mondial. L’hormone prélevée par l’équicide des jument sert à synchroniser les chaleurs de toutes les femelles de l’élevage. Sans ordre dans la fertilité, le zoocide ne peut devenir un zoolocauste. Le crime nataliste de l’esclavage procréatif mondial commence par la torture des juments. Avant les abattoirs, des fœtus sont abattus dans les corps des juments vivantes . Au coeur du système infernal il y a un avioltement- viol pour produire des avortements- viennent de là les violnes – viols pour produire des nouveaux nés- à engraisser. Avortées ou à naître les femelles sont violées, les mâles sont violés par les hommes violeurs professionnels, les inséminatueurs sacrificiels. Les taurelliers sont des branleurs, les éleveurs de douleur, les élevioleurs voleurs d’envols, les élevoleurs de vie et reproductueurs de mort. CEVA et une multinationale mafia hors la loi, une pharmacie géante dont les vétérinaires dévorent leur patients après eugénisme, viols, spoliation de sang, pompage de sperme, avortements de boucher. Ces vampires président aux cannibales, l’équicide au zoocide général. Femellicides, foetocides par milliers…..
Industrie pour la mort pire qu’une industrie de la mort…. Les viols procréatifs président l’holocauste nataliste mondial. L’humanité avale les viols en abîme sur des myriades de générations truandées par le génotypage. Camps de viols pour désenfantements…
Juments, poules, vaches, kangourous, oies, grenouilles, brebis, laies, chattes, autruchonnes, truites, dindes, lapines, zébrelles, daines, hases, dris, bisonnes, chamelles, chiennes, chèvres, zébutes, truies, cannes, cailles, pintades, aînesses, faisanes, cuys, saumons, chevrettes, crocodiles, biches, rennes, lamas, zébrelles…
Carte de la zoocriminalité : https://drive.google.com/open…
– En gris : centres de collecte de sperme français
– En violet : entreprises de viol (vente de semence) & de génétique
– En orange : les couvoir (camps de sexage – broyage – étouffage de bébés) – dindes, poules, canards.
Combien de fois les corps usines auront été violés sur la chaine des naissages de la filière élevage ? Combien de viols mutilant par castration des bout en train , des coqs , des porcelets ? Combien de pénétrations par l’œsophage du gavage des canards ? Combien de perforations dans l’abdomen des poissons ? Combien de doubles intrusions par l’anus et le vagin des femelles mammifères ? Les corps embrochés pour la cuisson des cadavres auront subi vivant vibrant des effractions procréatives impactant toutes leurs existences.
L’élevage patauge dans la merde, le sang et le sperme
Plaçons nous désormais entre les victimes et le pistolet du violeur, libérons les juments, ouvrons les fermes à sang, délivrons les prisonnières des gestations et des cages , évitons leur les désenfantements, l’épuisement des grossesses permanentes, la torture des trayeuses, l’écartèlement des expulsions d’œufs décalcifiantes . Si nous les empêchons de violer, ils n’auront plus personne à tuer. Le viol est une violence . Si pour nous femmes, le viol tue la femme dans la femme, comment sortir de sa culture sans l’abolition des légalités de leurs industries reproductives? Allons-nous encore laisser aux mains violeuses des éleveurs le droit de nier la valeur de ce que enfanter veut dire ? Allons nous enfin sortir la mécanique des peaux ? Allons nous encore laisser une seule femelle subir les coup de pistolet dans le vagin ? Les éponges prenant son sexe en otage? Les cathéters dans les ovaires, les jugulaires pour enrichir des milliardaires ?
Pas de naissage, plus d’élevage, fin du carnage…
Il n’est plus temps d’avaler du viol, il faut maintenant le recracher à la tête des criminels de l’élevage, il faut couper le cycle circulaire des tueurs de la reproduction. Pour que cesse le nesclavage, il faut interrompre les interventions pour naissance .
Délivrons nos soeurs femelles, neutralisons les proxénètes de la viande !
Délaissons les symptômes du zoolocauste, et sapons les racines du mâle, car seul le bien est radical .
Solveig Halloin, 14 février 2020
POUR AIDER LE RESISTANCE:
Pour en savoir plus sur le crime nataliste:
MEAT IS RAPE
Long before the slaughterhouse blood cascades, long before the space-time black hole where dread is commonplace, once upon a time the blood farm mares. Because before the execution chain industry, before the birth camps, there are abortion camps. The death of mares by abortive marathon and blood siphoning. Raped, emptied, aborted, locked up, the martyred females of the carnage camps will be murdered bloodless to make meat, their hormone production squeezed to the last drop of ECG so that the natalist zoolocaust can reign worldwide. Horse torture has the function of the global burst of torture. Breeding is a permanent worldwide genocide by fractal holocaust. Assassinations preside to other assassinations. Male and female horses are raped for further fertility to be advanced, so that rapes start at precocious puberty.
The hormone ECG is stolen and inoculated on billions of females on farms. This hormone creates an overproduction of eggs which will be transplanted into the meat matrix, prolificacy booster, giantized babies…
Mares guilty of possessing a hormone coveted by extermination Nazis are killed for the industrial planning of births by the agricultural mafia. The hormone taken by the death of the mares is used to synchronize the heat of all the females of the breeding. The natal crime of reproductive breeding begins with the torture of mares. Before the slaughterhouses, fetuses are slaughtered in the bodies of live mares. At the heart of the infernal system there are rapes to produce abortions and rapes to produce newborns for fattening. Aborted or unborn females are raped, males are raped by male professional rapists, sacrificial inseminators…
Bull breeders are wankers, pain breeders, thieves of takeoffs and lives, death breeders…
CEVA is an outlaw mafia multinational, a giant pharmacy whose veterinarians devour their patients after eugenics, rape, blood spoliation, sperm pumping, butcher’s abortions. These vampires are ahead of the cannibals, the murder of horses precedes the murder of all other farm animals. Here, females and fetuses are decimated by the thousands…
Industry for death worse than an industry of the death…. Reproductive rape presides over the worldwide natalist holocaust. Humanity swallows rape into the abyss over myriads of generations who have been gang-raped by genotyping.
How many times have the factory bodies been raped on the chain of births in the livestock sector? How many mutilations by castration of roosters, piglets? How many penetrations through the duck force-feeding esophagus? How many perforations in the abdomen of the fish? How many double intrusions through the anus and vagina of female mammals? The bodies skewered for cooking the corpses will have undergone living, vibrating, procreative intrusions impacting all their existence.
Farming wades in shit, blood and sperm
We now place ourselves between the victims and the rapist’s pistol, free the mares, open the blood farms, deliver the prisoners from gestations and cages, avoid their abduction of children, the exhaustion of permanent pregnancies, the torture of milking machines, the spreading of expulsions of decalcifying eggs.
If we stop them from raping, they won’t have anyone left to kill. Rape is violence. If for us women, rape kills the woman in the woman, how to leave its culture without the abolition of the legalities of their reproductive industries?
Are we still going to leave the violent hands of breeders the right to deny the value of what giving birth means?
Are we finally going to get the mechanics out of the skins? Are we still going to let a single female undergo pistol shots in the vagina? Sponges taking their sex hostage? Catheters in the ovaries, chin straps to enrich billionaires?
No birth, no more breeding, end of carnage …
It is no longer time to swallow rape, we must now spit it out at the head of livestock criminals, we must cut the circular cycle of reproductive killers. In order to end birth-slavery, interventions for birth must be stopped.
Let’s deliver the mares from sperm, lock up the pimps of the meat!
Let us abandon the symptoms of the zoolocaust, and let us sap the roots of the male, because only the good is radical.
LA CARNE ES VIOLACION
Tu carne es su violacion, tu carne es su vida, tu carne es su vientre.
Mucho antes las casacadas de sangre de los mataderos, mucho antes el agujero negro del espacio tiempo donde se produce el horror banalmente, Érase una vez las yeguas de la granja de sangre. Porque antes de la industria de las cadenas de ejecución, incluso antes de los campos de parto, están los campos de aborto.
La ejecucion por maratón abortivo y sifón sanguineo. Violadas, vaciadas, abortadas, encerradas, las mártires femeninas de los campos de carnicería serán asesinadas sin sangre para hacer carne, su producción hormonal se exprimirá hasta la última gota de ECG para que el zoolocausto natalista pueda reinar en todo el mundo.
La tortura de caballos tiene la función del estallido global de tortura. El ganado es un permagenocidio global por holocausto fractal. Los asesinatos presiden otros asesinatos, las hembras y los machos equinos son violados para que se avance en la siguiente fertilidad, de modo que las violaciones comiencen en la pubertad precoz: gestacida que hace que el bebé pubescente, el bebé violado, el parto en el parto. La hormona Gonadotropina coriónica humana (hCG) robada inoculada en miles de millones de hembras que crearán en exceso óvulos, trasplantes en los trozos de carne, aumento de la prolificidad, bebés gigantes. Las yeguas culpables de poseer una hormona codiciada por los perpetradores del exterminio perpetuo se rigen por la planificación industrial de los natalicidios con índice de criminalidad.
Las granjas de sangre son la piedra angular del zoolocausto global. La hormona tomada por el exterminio de la yegua se usa para sincronizar el calor de todas las hembras de la cría. Sin orden en fertilidad, el zoocidio no puede convertirse en un zoolocausto. El crimen natalista de la esclavitud reproductiva mundial comienza con la tortura de las yeguas. Antes de los mataderos, los fetos son sacrificados en los cuerpos de yeguas vivas. En el corazón del sistema infernal hay una violación, una violación para producir abortos, -de ahí vienen los nacidos y violados-, una violación para producir bebés recién nacidos, para engordar. Las hembras abortadas o no nacidas son violadas, los machos son violados por violadores profesionales masculinos, inseminadores de sacrificio. Los toreros son imbéciles, criadores de dolor, ladrones de vuelos, criadores de vida y de muerte. CEVA y una mafia multinacional fuera de la ley, una farmacia gigante cuyos veterinarios devoran a sus pacientes después de eugenesia, violación, despojo sanguíneo, bombeo de esperma, abortos de carnicería. Estos vampiros presiden los caníbales, el equicidio en el zoocidio general. Femellicides, fetocidios por miles …
Industria para la muerte peor que una industria de la muerte … La violación reproductiva preside el holocausto natalista mundial. La humanidad se traga la violación en el abismo durante miles de generaciones que han sido violadas en grupo por genotipado.
¿Cuántas veces se han violado los cuerpos de las plantas en la cadena de nacimientos en el sector ganadero? ¿Cuántas violaciones mutilan por castración de caballos test, gallos, lechones? ¿Cuántas penetraciones a través del esófago de alimentación forzada al pato? ¿Cuántas perforaciones en el abdomen del pez? ¿Cuántas intrusiones dobles a través del ano y la vagina de mamíferos hembras? Los cuerpos ensartados para cocinar los cadáveres habrán sufrido asaltos de vibraciones procreativas que afectarán toda su existencia.
La agricultura vadea en mierda, sangre y esperma
Pongámonos ahora entre las víctimas y la pistola del violador, liberemos a las yeguas, abramos las granjas de sangre, liberemos a los prisioneros de las gestaciones y las jaulas, evitemos su desnudez, el agotamiento de los embarazos permanentes, la tortura de las máquinas de ordeño, acuartelamiento de expulsiones de huevos descalcificadores. Si les impedimos violar, no les quedará nadie a quien matar. La violación es violencia. Si para nosotras las mujeres, la violación mata a la mujer en la mujer, ¿cómo salir de su cultura sin la abolición de las legalidades de sus industrias reproductivas? ¿Todavía vamos a dejar las manos violentas de los criadores para negar el valor de lo que significa dar a luz? ¿Finalmente vamos a salir de la mecánica de las pieles? ¿Todavía vamos a dejar que una sola hembra se someta a disparos de pistola en la vagina? ¿Esponjas tomando a sus rehenes sexuales? ¿Catéteres en los ovarios, correas en las yugulares, para enriquecer a los multimillonarios?
Sin nacimiento, no más cría, fin de la carnicería …
Ya no es hora de tragar la violación, ahora debemos escupirla a la cabeza de los delincuentes ganaderos, debemos cortar el ciclo circular de los asesinos de la reproducción. Para terminar con la nueva exclavitud, se deben detener las intervenciones de nacimiento.
¡Entreguemos las yeguas de esperma, encierren los proxenetas de la carne!
Abandonemos los síntomas del zoolocausto y saquemos las raíces del macho, porque solo lo bueno es radical.
Solveig Halloin, 14 de febrero de 2020