
Le zoolocauste en cours est d’une telle ampleur que la puissance de sa destruction entraîne d’autres génocides en chaîne.
Intervenir sur des millions d’individus pour générer des êtres machines à manger pour les manger est un cycle sans avenir pour les avalés et les avaleurs. Le permagénocide de l’élevage est une chaîne de destructions allant de l’assassinat en masse d’êtres doués d’émotions comme les vaches, les lapins, les poules, les cochons mais aussi les sapiens.
La chaîne de production de la « filière » est à chacune de ses étapes un gouffre de destructions. L’élevage produit du meurtre. Son économie délétère mécanise les vivants pour créer des agonies.
Les végétaux génétiquement modifiés et pesticidés empoisonnent les agriculteurs, les zoonimaux libres mais surtout le « bétail »à qui il est destiné.
Les savants fous (regroupés à l’INRA)-vendus des multinationales du zoolocauste de la « production animale »- ont supprimé génétiquement dans le cerveau des animaux d’élevage ce qui correspond à la sensation de satiété. Autrement dit, TOUS LES ZOONIMAUX D’ELEVAGE SONT RENDUS BOULIMIQUES GENETIQUEMENT parlant pour engraissement et pour la satisfaction du commerce des chairs des ogres possesseurs. Quelle fatigue digestive doivent sentir nos alter ego traités comme des machines à manger, des digestats sur pattes…
Les zoosclaves de l’élevage sont génétiquement mutantisés et des races robustes de leurs espèces exterminées pour toujours. Les nexterminateurs eugénistes ont créé des zoonimaux mutants dont les critères de modifications sont l’utilité à l’engraissement pour les zooppresseurs. Les truies des camps de tortures ont tatoué sur leur corps meurtris obésifié le code barre qui apparaîtra sur l’emballage de la couën du jamb-on.
Les AGM (Animaux Génétiquement Modifiés) mangent des VGM (Végétaux Génétiquement Modifiés), des pesticides, des hormones et des antibiotiques. Une fois que les végétaux sont passés dans le tube digestif des zoosclaves pour engraissement, lactation ou pondaison, des sapiens avalent les végétaux transformés en « viande »par une personne instrumentalisée comme un intermédiaire digestif. Plutôt que de manger des végétaux, l’humanimal mange quelqu’un qui mange des végétaux.
Les conséquences inéluctables à l’industrie de l’engraissement sont les milliards de tonnes de déjections empoisonnées empoisonnantes. La quantité gigantesque du lisier empoisonne les agriculteurs, les populations humaines respirant l’épandage, les zoonimaux libres des terres et des océans. Les mers du monde deviennent les merdes du monde. Les eaux sont acidifiées et la vie aquatique faune et flore, flore et faune, disparaît par dystrophisation. Les animaux esclavagisés ont malgré eux tués les animaux libres, eux-même accusés de « nuire » aux esclaves de l’élevage.
70 % des terres du monde sont utilisées pour faire pousser les végétaux destinés à l’alimentation boulimique des zoosclaves de chair. L’élevage est coupable d’affamer des millions d’humanimaux en volant les terres qui pourraient les nourrir. La « production de viande » est coupable de génocide d’affamés. Le zoocide crée l’humanocide. Contrairement à la propagande des zoosclavagistes, l’élevage n’est pas nourricier du peuple humain :il affame, empoisonne et génocide les peuples de toutes espèces confondues. « Manger de la viande c’est donner un claque à un enfant qui a faim », faire de la « viande » c’est défaire une personne et en torturer 2 : l’une par gavage et l’autre par privation de nourriture.
La principale cause du réchauffement climatique, de la déforestation, la forêt étant, rappelons-le, l’habitat naturel des cochons, revient à l’élevage, c’est-à-dire au permolocauste : la condition des animaux d’élevage étant un éternel Treblinka.
Des zoosclavagistes font plus d’argent en vendant les déjections des esclaves qu’en vendant le lait spolié des vaches violées, désenfantées, des veaux orphelins désallaités. Et les subventions étatiques sont accordées si la merde est produite en quantité…
…Et les corps des cochons font carburant pour voiture…
L’élevage est le Grand Crime de la civilisation responsable de telles catastrophes qu’elles risquent d’être fatales à la présence animale sur la planète Terre qui va devenir un désert d’animaux que donc nous sommes, que donc nous étions. SOS…SOS…SOS…
Stoppons l’emballement nécrophage, il n’y aura bientôt plus de morts à avaler. Le zoocide est un écocide, quittons maintenant la fin du monde pour sauver l’avenir.
Soyons toustes des lancereuses d’alerte pour l’abolition universelle de l’esclavage spéciste. La circularité du zoocide perpétuel et industriel de l’élevage nous entraine toustes dans un vortex génocidaire.
La zoophagie est autophage. A force de digérer les agonies, c’est l’agonie qui nous digère.
Solveig HALLOIN, 3 octobre 2018 pour l’abolition de la boucherie.
Ce texte est dédié au petit cochon déshydraté en mort neurologique trouvé dans un camps de naissage. A toi l’oublié de l’oubli, petit nouveau né ne réagissant plus sous les tendres caresses, nous ne t’oublierons jamais, ta mort ne sera pas oubliée, nous t’en faisons la promesse. Et par cette promesse, petit être magnifique, tu nous maintiens en lutte pour la vie, en vie pour la lutte. C’est grâce à toi Petit Résistant. Grâce à toi, tout petit résistant, grâce à toi………
Cowspiracy : https://www.youtube.com/watch?v=TgbGGwwUk6c
Sauver le bœuf : https://youtu.be/BovrFLENS8w
L’enfer vert des bretons (extrait) : https://vimeo.com/36955304
Comment l’industrie de la viande menace le monde : https://www.facebook.com/1722336461355098/posts/2051313668457374/

