FEMELLES, DÉPOSSÉDONS LES HOMMES DE NOS SACRIFICES

FEMELLES, DÉPOSSÉDONS LES HOMMES DE NOS SACRIFICES

Par analogie avec esclavage et servage, le sexage est l’appropriation matérielle de la classe des femelles par la classe des hommes

Ceux qui pratiquent le plus ce crime sont les husbands de l’husbandry. Sans sexage pas d’esclavage de l’élevage.

Si Google traduit « sexe » en « genre« , nous galopons vers le gynocide planétaire.

Le « genre » est un concept descriptif symétrisant qui invisibilise la guerre des hommes contre les femmes. Le sexe n’est pas oppression, le genre est oppression contre le sexe femelle. Le régime imposé par la colonisation mâle planétaire est un régime de sexage, c’est à dire un régime d’apartheid contre toutes les femelles. L’apartheid se décline en holocauste pour les femelles spécisées. Le sexage est partout et se décline en sexclavage par endroits. -Actuellement les femmes des dicktatures islamistes sont sous les fers des voileurs qui utilisent le voilement des femmes pour atomiser le femclavage plus identifié dans l’Histoire par la présence matérielle de camps dédiés. Le recouvrement obligatoire sert de cage mobile aux femclavagistes qui bénéficient ainsi des services des prisonnières dont l’emprisonnement groupé les priverait.- Les « études de genre » universitaires sont une machine de guerre idéologique contre la résistance femelliste. Une oppression ne saurait être vouée à étude mais à renversement. On ne naît pas femme mais on naît femelle. Nul « féminicide » mais des femellicides, car ce n’est pas le féminin qui est assassiné, ce sont des femelles. Les femelles sont tuées par l’acte originel du sexage, par la séparation effectuée par les hommes entre les sexes pour déterminer le peuple à coloniser, du peuple des colonisatueurs. Les femelles sont tuées dans le régime du sexclavage. Le sexage précède de sexe qui opère au meurtre du sexe femelle. De cette sexuation xx sera scellé un destin d’opprimée sur la Terre où les mâles xy ont approprié 99 % de la surface. Ce sont les hommes qui ont installé le sexage pour pouvoir identifier qui sexclavagiser sans erreur. Le « genre » c’est le voilement, le viol, le rose, le maquillage, le ménage, le mariage, etc… Le « genre » est un sexclavage distillé dans l’accoutrement, les pratiques, les espaces. Les modalités de cet esclavage sont les plus complexes et contingentes de tous les esclavages. La diversité de ses modalités est là pour la rendre a-consciente. La bitocratie fait croire que l’oppression a un visage frontal. Or l’oppression est masquée, privée, interne, multiple, indirecte, perverse, de basse et haute intensité. La guerre des hommes entre eux n’est que la vitrine, l’imagerie de l’idée de violence. En réalité cette violence étalée existe pour étouffer la violence incommensurable des hommes contre les autres animaux, les enfantes, les femmes. C’est pourquoi les temps de «paix» en androcratie TUENT davantage que les temps de leurs guerres inter-mâles. La routine quotidienne hors état de guerre humaine en patriarquie c’est le zoolocauste mondial. La décapitation y est insignifiée, avalée et déféquée. Car leur guerre inter-mâles désorganise leur routine holocauste des zootres, gynocide et infanticide. Quand les hommes se tirent dessus entre eux, les autres ont un micro répit avant que d’être à nouveau utiliséEs comme objets de chantage, comme otages à leurs rivalités internes de colonisatueurs. Les couillus créent régulièrement des concepts d’enfumage, des raisonnements paralogiques, font des démonstrations perverses. Réhabiliter l’existence de la sexuation duelle des mammifères que donc nous sommes est indispensable au progrès de justice. Le sexe n’est pas social, le sexe est femelle ou mâle et rarement sexoatypique. Aucun gamète n’est autre que F ou M. En revanche, les eugénistes de la sexuation sont des hommes. Le sexage qui sépare mâles et femelles dans les usines de parentaux , qui broie les poussins mâle inutiles à l’entreprise nataliste des œufs et du lait, ce sexage originel du nolocauste est effectué par les multinationales masculines. Les charcutiers se faisant appeler «chirurgiens» qui sexcisent les gynoniées aliénées par l’idéologie du  » genre  » sont des hommes. Les hommes s’enrichissent d’argent pour couper les seins des femmes. Le sexage est la viol ence à abolir. Sortons du chantier de la revendication des droits à la boucherie, des droits à l’automutilation, des droits au sexclavage, des droits à l’avortement. Quand on est au stade de l’avortement c’est trop tard, comme avec le stade de la viande. La solution est en amont. L’acte abortif n’est pas une fatalité de la condition des femmes. Sortons de l’aménagement de nos peines. Devenons vite femellistes matérialistes : occupons nous du démantèlement des infrastructures barbues, révoltons nous physiquement par nos corps femelles dans les sanctuaires des dominants, brûlons les banques, ne payons plus jamais de loyers pour le droit d’exister quelque part, ils nous ont confisqué la Terre et nous obligent à travailler gratuitement pour eux en plus de nous obliger à acheter un espace limité dans le temps pour ce qui nous appartient déjà légitimement. Notre servage c’est la naturalisation d’une appartenance aux hommes. Ils ont inventé le « genre » pour nier le factuel : leur culture est gynocidaire.

A CHAQUE FOIS QUE TU MENTIONNES LE « GENRE« , TU TUES UNE FEMELLE

Les biteux ont un dilemme: ils ne peuvent nous exterminer pour sélectionner le sexe pure protubérant sans le faire disparaître. Notre holocauste est impossible à moins d’en anticiper la pérennité par la mainmise nataliste, par le sexage de la procréation, par la transformation de l’enfantement en production phallique. Leur plan est abouti dans l’husbandry, il est en cours pour la femelle sapiens. L’esclavage de nos enfantements leur permet de nous soutirer une exploitation tout en leur fournissant de nouveaux mâles nécessaires à l’avenir patriarcal. Les femmes sont les rebuts de la valeur capitaliste, les zootres sont les déchets de la viande, les enfants sont les encombrants adultes. La nature gêne la culture mâléfique. Les hommes veulent se débarrasser de la vie sans comprendre qu’ils œuvrent à leurs propres anéantissements. Mais ils n’ont aucune vision des conditions pour la possibilité de leur Avenir égoïste, ils ne bossent que pour un ici et maintenant sadique. Jouir sans entrave, jouir de faire les mâles, jouir de faire du mal. Ils n’ont pas d’empathie mais n’ont plus non plus la conscience du temps, des générations, de l’écocide. Le Monde est charcuté par un grand singe stupide. Le mâle sapiens est dégénéré. Son ultime provocation est de s’interroger sur la capacité des zootres à ressentir quand c’est lui qui par épigénétique de pratique sadique séculaire est définitivement dépourvu de ressenti. Son ultime provocation est de dire que la sapiens est inapte au politique parce que sa capacité émotive est débordante. Puis accuser les débordantes de prêter sensibilité aux insensibles . Ne pas sentir ou trop sentir, en vérité le bitard s’en fout, lui ne sentira pas qu’il tue de toute façon. Il aura joui au passage de nous voir débattre d’un sujet dont il fait mine de se préoccuper. La conflictualité l’excite, il bande de nous voir essayer de le convaincre, de le persuader du problème, de nous voir perdre notre temps et la guerre dans les efforts pour le conscientiser du mal dont il est l’actant volontaire. Gynocide et zoolocauste ne sont pas issus d’un quiproquo mais d’une volonté masculine. L’esclavagiste ne connaît pas l’éthique. Il n’a pas d’accès neuronal à une attention éthique. Il ne connaît pas le champ moral. Les femelles doivent comprendre et admettre cette évidence. Les actions de résistance doivent être ailleurs que dans le débat et la pédagogie. Le patriarcat n’est que passage à l’acte mizoogyne . Asservir est son intérêt, sa violence est une nécessité pour obtenir ses privilèges.

Où sont nos passages à l’acte ? Quand débarquons nous dans leurs camps de la mort ? Va-t-on enfin pénétrer le patriarcat ? Ouvrir les fermes et déblayer les tribuRnaux de la racaille pédocriminelle qui trône dans ces palais de violeurs. Virer les curés sodomites d’enfants pour réhabiliter les églises en maison des femmes. Brûler les voiles et décoiffer les mollahs. Chiffonner les robes de mariées. Prendre d’assaut les bureaux des multinationales écocidaires. Faire exploser leurs datas centers qui tiennent les outils de la production de propagande. Évader les enfants placés dans les camps de deal et prostitution. Terroriser les terroristes. Casser les vitrines qui maintiennent les sexclaves en cages transparentes. Libérer les pauvres volés. Enfermer les riches voleurs. S’installer dans les maisons vides de leurs résidences secondaires. Envahir leurs bureaux de vote pour que jamais les femmes ne puissent élire un singe stupide omnipotent président. Saboter les paillettes de sperme dans leur banque du nolocauste. Mettre la pagaille dans les camps de naissage pour empêcher le sexage. Éloigner les fécondeurs de nos ventres si nous ne désirons pas d’enfant. Embusquader les camions, les trains, les paquebots de déportation pour délivrer les avalées. Dynamiter tous les postes frontières. Réfugier les flotteuses des mers…

L’écocide est une irrésistible priorité politique. Une autre réalité est pourtant encore plus prioritaire : c’est l’accélération de l’écocide pour achever l’agonie perpétuelle du zoocide natalisé. Les morts des charniers des fermes ont plus de chance que les survivantes déportées pour l’exécution dans les tueries. Celles qui résistent souffrent plus longtemps. Le monde masculin est un tel enfer qu’ils ont rendu sa poursuite pire qu’une apocalypse final. Que les souffrances occasionnées par les hommes puissent enfin cesser même si le Monde doit cesser : telle est la situation. L’humanité disparaîtra, bon débarras.

Donc tout doit être tenté pour déloger les monstres du pouvoir nuire. Tout. Ce qui a été tenté jusqu’à présent ne fonctionne pas. Il faut autre chose. Une offensive à la hauteur de leur organisation mondiale totalitaire. Tout miser sur la délivrance des victimes animales. Elles sont des milliards à vouloir résister. Les hommes ne cesseront jamais de les martyriser. Il faut que les évadées retrouvent la possibilité de se défendre #openthefarms. Comme dirait un survivant des camps de la mort : mieux vaut être fugitif que prisonnier sur Nazi Planète. Tous les efforts doivent être tournés vers l’affranchissement des premières zesclaves qui affranchiront les autres. Seules les esclaves de l’élevage peuvent abolir l’élevage. Mais la fin de l’élevage ne sera pas législative, parce que le Monde doit fonctionner sans lois écrites par les mains ensanglantées des maîtres. L’oralité, le nomadisme, la forêt assurent plus certainement la paix que l’erreur urbaine. Abolissons les prisons, la police, les frontières, l’armée, l’husbandry, le mariage, les religions, la domestication, la propriété, la présidence …Et constatons que le Monde se porte mieux.

L’ouverture massive et rapide des fermes est un formidable espoir à la sortie de l’enfer sur Terre. L’adresse des gestes doit être aux zoopprimées, à la restitution des conditions de leurs auto défenses, car jamais le sapiens ne cessera son éternel Treblinka. La sapiens en revanche peut évader les femelles. Dépossédés de leurs usines à viande, les husbands assistés, richards parasites, dépendants du travail gratuit des femmelles, ne seront plus rien. Actuellement les mères sapiens sous les coups doivent prendre soin des enfants plus vulnérables qu’elles encore. Mission impossible. La fuite impossible aussi car la prison des femmes c’est la planète patriarquie. Pour les femelles spécisées, l’enfant est rapté dès sa naissance et les mères violées perpétuellement jusqu’au prolapsus de leurs entrailles. La pire violence patriarcale est de provoquer des enfantements comme recette de cuisine. Cauchemardez les camps de la Shoah où les bébés des juives violées seraient mangés et vous avez « l’élevage« . L’husbandry fabrique l’humanimal herbivore en zoophage. Le cercle alimentaire holistique mondial devient alors pyramidal et prédateur, plaçant le sapiens au sommet de la violence. Cette folie de « l’élevage » explose les interdépendances naturelles en artificialisant un natalisme d’exterminées. Les husbands affament les terriennes. Les hommes mangent les bébés de leurs viols. Inceste et pédophagie régissent le monde normâle.

Ils obtiennent leurs privilèges par la violence, à nous de faire grève de la servitude et de répandre la grève aux exterminées de chair. Aux armes femellistes : soyons des gangs aux pieds de biches. Pour que les femelles de l’husbandry puissent faire la grève des naissances nous devons leur restituer les conditions de l’insurrection. Les désencager des pistolets à sperme. A des années lumières de la contreproductivité d’ L214 patriarcaptif qui se préoccupe des conditions de leurs détentions iniques. Aménager le crime est criminel. L’husbandry c’est mille milliards de gens assassinés par an ayant eu vie de tortures , remplacées par mille milliards de viols procréatifs : le souhaitable ne peut donc être une amélioration des conditions du pire crime de civilisation mais son arrêt totale et rapide.

Leurs corps n’est pas ton choix.

FEMELLES, DÉPOSSÉDONS LES HOMMES DE NOS SACRIFICES.

CESSONS D’ÊTRE LES SERVILES DES ZOBPRESSEURS

LE SOIN OUI MAIS A SOI-MÊME, AUX ENFANTS ET AUX ZOOTRES VICTIMES DES HOMMES, PLUS JAMAIS AUX HOMMES.

ÉLOIGNONS LES PETITS GARÇONS DE LA COMMUNAUTÉ DES VIOLEURS POUR QU’ILS CESSENT D’APPRENDRE LE VIOL

DÉPRIZOONONS TOUTES LES ENFANTANTES DE L’APPROPRIATION MASCULINE.

QUE NOS MUTINERIES ANIMALES COMMENCENT IMMÉDIATEMENT !

ILS ONT INVENTÉ LES PRIZOONS, JETONS LES GEÔLIERS A L’INTÉRIEUR !!!

Solveig HALLOIN, 27 janvier 2023