
Extrait d’un livret sur l’égalité de « genre » distribué aujourd’hui à mes enfants par leur collège….Non « ceci » n’est pas une femme, « ceci » est un sapiens adulte mâle qui s’est juste mis un peu de rimmel. L’idéologie de genre du lobby néopatriarcal transactiviste est déjà enseignée par l’éducation nationale avec la collaboration des élus locaux…
Le GYNONÉGATIONNISME est le discours idéologique qui consiste à contester ou nier la réalité biologique de la gyné (femelle sapiens), mis en œuvre par des théoriciens masculinistes faisant l’apologie du SEXAGE au profit du patriarcapitalisme trans/queer pro mutilations et traitements chimiques de big pharma. Bousillant des femmes, des enfant.es, des lesbiennes, à vie qui souffraient de dysphorie de genre ou pas. Beaucoup de victimes sont des ados simplement mal dans leur peau et influencé.es par cette idéologie mystique de mésincarnation/transmigration spectaculaire qui inonde les réseaux sociaux, internet, les médias. Toujours au détriment des femmes puisque la mutilation de leurs seins et leur voix grave sont irrémédiables pendant que les hommes ont souvent juste à retirer des prothèses et du maquillage. Renseignez- vous sur les #detrans et leur difficile reconstruction et comment elles sont stigmatisées et silenciées par la communauté transbite.

La dysphorie de genre est une conséquence directe du SEXAGE imposé par le patriarcat depuis toujours. Le néopatriarcat transbite renforce le sexage en enfonçant le « genre » dans nos sexes. En sociologie, le SEXAGE est une conceptualisation des rapports sociaux de sexe soit l’appropriation d’une classe de sexe par une autre, élaborée par la sociologue féministe matérialiste Colette Guillaumin en 1978. Le genre commande toute analyse des rapports de classes de sexe. Et fait en grande partie la lumière sur la colonisation des femelles par les mâles sapiens.Le genre, qui n’est rien d’autre que du sexage, doit être combattu et aboli. On a un corps mâle ou femelle et une personnalité unique. Point barre !
Un homme qui aime se parer des accoutrements patriarcaux dits féminins c’est ok si ça le rend heureux mais qu’il ne vienne pas nous dire que c’est une femme.Ces hommes qui disent être des femmes commencent à envahir le sport féminin et forcément ils raflent nos médailles. Ils se retrouvent aussi dans les prisons pour femmes où ils agressent et violent. Ils rentrent dans les quotas de femmes en politique… etc.L’idéologie transbite est homophobe et particulièrement lesbophobe, c’est une néo thérapie de conversion qui efface l’homosexualité, faisant des homos -> des hétéros « nés dans le mauvais corps« . Voir pire car certains transbites se revendiquent lesbienne !!! Ils s’immiscent dans les lieux de rencontres lesbien et agressent des lesbiennes, les traitent de « transphobe » si elles ne couchent pas avec eux !Ils ont réussi le pari de se faire passer pour les victimes n°1 du patriarcat encore plus victimes que les femmes… manipulant l’opinion avec les chiffres des morts trans qui sont principalement des victimes assassinés dans le cadre de la prostitution qu’ils revendiquent comme un « travail » et non comme une violence, accusant les féministes qui résistent, contre cette idéologie et la pornoprostitution, comme responsables de leur mort alors que ce sont des hommes qui les tuent. Les féministes ne feront jamais l’apologie de la violence envers qui que ce soit, en revanche les féministes sont menacées, tapées, censurées, harcelées… JK Rowling en est l’exemple parfait. Des transactivistes ont manifesté le 19 novembre devant le domicile de l’écrivaine en Écosse, révélant sur Twitter son adresse. Elle a reçu par courrier des paquets de menaces de mort ou d’intimidations. « Suffisamment pour tapisser ma maison. » a t-elle dit.Ces fachos misogynes la harcèle car elle a rappelé ce fondamental « Si le sexe n’est pas réel, la réalité vécue des femmes dans le monde est effacée. » La régressive boucherie patriarcale mutilante et qui shoote aux hormones, aux bloqueurs de croissance, ne sera jamais une évolution. Les féministes radicales anglo-saxonnes nous alertent pourtant depuis longtemps. Pendant que les premiers procès d’adolescentes, bousillées par les bouchers « médecin » des « cliniques du genre » commencent à arriver en Angleterre et au Canada, nous en France on en est à l’étape d’enseigner cette idéologie identitaire et fasciste dès la 6ème..
Et pour info les transRACialistes, souvent des blancs, qui disent qu’ils sont nés dans le mauvais corps ethnique car en fait ils seraient noir ou asiatique (si si ça existe!) se font traiter de racistes mais quand il s’agit de tranSEXualisme bizarrement personne ne crie au sexisme !
Les siècles ont beau passer, le droit de chier allègrement sur les femmes est toujours d’actualité.
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Carole LEAUX, 26 novembre 2021