BAUDELAIRE : SADISTE ABONDAMMENT ENSAIGNÉ

BAUDELAIRE : SADISTE ABONDAMMENT ENSAIGNÉ

« Il faut toujours en revenir à Sade, c’est-à-dire à l’homme naturel, pour expliquer le mal » – Notes Intimes (1837)

Toujours en référence au Marquis de Sade, Baudelaire écrit « Nous sommes tous nés marquis (ou marqués) pour le mal. » Baudelaire, bien connu pour ces poèmes récités par les enfants est un violeur qui fait l’éloge de la torture des femmes. L’école enseigne la misogynie en apprenant aux enfants les textes d’un prostitueur adorateur du criminel Sade. Si l’on a prêté à Baudelaire la qualité de plus grand poète français, on a largement oublié son goût pour la maladie, la meurtre, la saleté et le mal, qui étaient ses principales sources d’inspiration pour l’écriture de ses poèmes.“La parenté de Sade et de Baudelaire dépasse d’ailleurs le cadre de l’algolagnie amoureuse et elle se retrouve sur un certain plan moral et métaphysique qui est celui où la cruauté doit trouver sa justification. L’auteur de Justine et le poète des Fleurs du mal partent tous deux du postulat que notre pente nous précipite vers le mal et que le crime ne peut être regardé comme un acte de contre-nature dans la mesure où il ressortit à l’exercice de la spontanéité la plus pure.”Le sadisme de Baudelaire .Dans ce livre méconnu, Georges Blin expose la parenté entre Sade et Baudelaire : tous les deux grands misogynes adorateurs de la torture et du meurtre.Baudelaire a en effet été fortement influencé par le criminel Sade.

BAUDELAIRE MIZOOGYNE !

Pour Baudelaire comme pour Sade, le mal est dans la nature. « La Nature ne fait que des monstres » écrit Baudelaire ; « le plaisir qu’a placé la Nature au crime » écrivait Sade. Baudelaire est un grand mizoogyne qui déteste les femmes et les autres animaux.« C’est la nature qui pousse l’homme à tuer son semblable, à le manger, à le séquestrer, à le torturer ; car, sitôt que nous sortons de l’ordre des nécessités et des besoins pour entrer dans celui du luxe et des plaisirs, nous voyons que la nature ne peut conseiller que le crime. […] Le crime dont l’animal humain a puisé le goût dans le ventre de sa mère, est originellement naturel… » Nous y voilà donc! Ce sadiste ne cache pas sa misogynie. Pour Baudelaire, les criminels sont inspirés par les femmes. Il exprime sa profonde haine envers leur pouvoir gestatif. Son œuvre repose sur l’envie de possession des femmes, il désire en fait s’emparer de leur richesse d’enfantement que son corps mâle ne détient pas.“Femme impure ! L’ennui rend ton âme cruelle. / Machine aveugle et sourde, en cruautés féconde ! / Salutaire instrument, buveur du sang du monde, / Comment n’as-tu pas honte et comment n’as-tu pas / Devant tous les miroirs vu pâlir tes appas ? / La grandeur de ce mal où tu te crois savante, / Ne t’a donc jamais fait reculer d’épouvante, / Quand la nature, grande en ses desseins cachés, / De toi se sert, ô femme, ô reine des péchés, / – De toi, vil animal, – pour pétrir un génie ? / Ô fangeuse grandeur ! sublime ignominie !”- Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelleIl écrit aussi “la reproduction comme un vice de l’amour.” Pour Baudelaire, la fécondité est cruelle. De nouveau, ce mizoogyne vomit sa haine des femelles humaines et des autres animaux, qui se confirme par ses écrits criminels “de la nécessité de battre les femmes”, ou encore “La femme est naturelle, c’est-à-dire abominable. Elle est simpliste, comme les animaux.”

BAUDELAIRE PROSTITUEUR !

Très jeune, Baudelaire commença à payer des femmes pour les violer. Il devient syphilitique à l’âge de 18 ans. Maladie dont il mourut 28 ans plus tard.“L’amour, c’est le goût de la prostitution. Il n’est même pas de plaisir noble qui ne puisse être ramené à la prostitution. Dans un spectacle, dans un bal, chacun jouit de tous.Qu’est-ce que l’art ? Prostitution. […]L’amour peut dériver d’un sentiment généreux : le goût de la prostitution ; mais il est bientôt corrompu par le goût de la propriété.” Baudelaire est un prosti-tueur de femmes qui fait à de maintes reprises l’éloge de la prostitution. Rien d’étonnant quand on sait qu’il jouit de la torture et de la mort des femmes.

BAUDELAIRE SADISTE !

“La volupté unique et suprême de l’amour gît dans la certitude de faire le mal. Et l’homme et la femme savent de naissance que dans le mal se trouve toute volupté”– Fusées

Baudelaire exprime son goût pour la torture, pour le crime, pour le meurtre, pour la décapitation, pour la mort. Plus exactement pour les femmes mortes.“Baudelaire, dans une note, remarque curieusement qu’une collection de chapeaux « fait voir aux yeux de l’esprit » une galerie de têtes coupées – et il n’y a pas là sans doute de quoi fouetter un chat. Mais Une Martyre dans Les Fleurs du Mal offre sur ce thème un document décisif. L’amant sadique a tranché le col de sa lascive victime et la tête repose sur la table de nuit. « Des yeux révulsés » s’échappe « un regard vague et blanc » qui évoque la jouissance non moins que l’horreur douloureuse et la mort.”Le sadisme de Baudelaire

Baudelaire affiche clairement sa perversion et son sadisme à travers sa jouissance de violer et de torturer : “Il y a dans l’acte de l’amour une grande ressemblance avec la torture ou avec une opération chirurgicale.” D’ailleurs, son plaisir de dissection est très clair dans “Mademoiselle Bistouri” où il relate les dires d’une femme qui parle de lui : “Je me souviens que c’était vous qui l’assistiez dans les opérations graves. En voilà un homme qui aime couper, tailler et rogner ! C’était vous qui lui tendiez les instruments, les fils et les éponges.” Pire encore, Baudelaire rêve de décapiter les femmes : “ « Tu es médecin, n’est-ce pas, mon chat ? » Cet inintelligible refrain me fit sauter sur mes jambes. « Non ! » criai-je furieux.— Chirurgien, alors ?— Non ! non ! à moins que ce ne soit pour te couper la tête ! ”De même, dans “une martyre”, il décrit une scène atroce, où le cadavre d’une femme est à côté de lui, décapité. “Un cadavre sans tête épanche, comme un fleuve, / Sur l’oreiller désaltéré / Un sang rouge et vivant, dont la toile s’abreuve / Avec l’avidité d’un pré.” Baudelaire est un violeur qui fait l’apologie du viol et qui jouit de son crime. Il aime détruire les femmes ; plus il les rend faibles et agonisantes, plus ce sadiste prostitueur mizoogyne prend son pied.“Quand même les deux amants seraient très épris et très pleins de désirs réciproques, l’un des deux sera toujours plus calme, ou moins possédé que l’autre. Celui-là ou celle-là, c’est l’opérateur ou le bourreau ; l’autre, c’est le sujet, la victime. Entendez-vous ces soupirs, préludes d’une tragédie de déshonneur, ces gémissements, ces cris, ces râles ? Qui ne les a proférés, qui ne les a irrésistiblement extorqués ? Et que trouvez-vous de pire dans la question appliquée par des soigneux tortionnaires ? Ces yeux de somnambule révulsés, ces membres dont les muscles jaillissent et se roidissent comme sous l’action d’une pile galvanique, l’ivresse, le délire, l’opium, dans leurs plus furieux résultats, ne vous en donneront certes pas d’aussi affreux, d’aussi curieux exemples. Et le visage humain, qu’Ovide croyait façonné pour refléter les astres, le voilà qui ne parle plus d’une expression de férocité folle, ou qui se détend dans une espèce de mort. Car, certes, je croirais faire un sacrilège en appliquant le mot : extase à cette sorte de décomposition.” Ce passage décrit clairement un viol dont Baudelaire est l’auteur. Nous comprenons qu’il est le bourreau, et qu’il ressent une profonde jouissance dans la contemplation morbide de celle qu’il torture. Baudelaire est un sociopathe. Le journaliste Louis Poupart-Davyl confirme les délires sadistes de Baudelaire dans Le Figaro du 15 août 1880 “Un soir, nous nous trouvions dans je ne sais plus quelle brasserie, et le poète des Fleurs du mal racontait je ne sais quoi… d’énorme. Une femme blonde, assise à notre table, écoutait tout cela, les yeux écarquillés et la bouche ouverte. Tout à coup, le narrateur s’interrompant, lui dit : Mademoiselle, vous que les épis d’or couronnent et qui, si superbement blonde, m’écoutez avec de si jolies dents, je voudrais mordre dans vous et, si vous daignez me le permettre, je vais vous dire comment je désirerais vous aimer. – Au reste, vous aimer autrement me semblerait, je vous l’avoue, assez banal. – Je voudrais vous lier les mains et vous pendre, par les poignets, au plafond de ma chambre ; alors je me mettrais à genoux et je baiserais vos pieds nus.” Frappée de terreur, la blonde s’enfuit. Si elle court encore, elle a dû aller loin, car il y a longtemps de cela. Le poète était très sincère. Il ne l’avait rêvée, pendant un moment, que pendue ; il nous en parla jusqu’à minuit”Ces poèmes ne cessent de faire l’apologie du viol, de la torture et du meurtre des femmes, tout comme les écrits de Sade. Comment ce sociopathe peut-il être enseigné à l’école ? Voici d’autres passages de ces écrits monstrueux :

“Il ne peut entre nous exister d’autre chaîne / Que cet amour étrange où se mêle la haine… / Tellement qu’on se sait, dans la volupté même, / Si l’on veut embrasser ou tuer ce qu’on aime…” – Idéolus

“Aux titillations sataniques d’un vague amour succèdent bientôt des entraînements, des éblouissements, des cris de victoire, des gémissements de gratitude, et puis des hurlements de férocité, des reproches de victimes et des hosannas impies de sacrificateurs, comme si la barbarie devait toujours prendre sa place dans le drame de l’amour, et la jouissance charnelle conduire, par une logique satanique inéluctable, aux délices du crime.”– L’art romantique

“La femme, esclave vile, orgueilleuse et stupide, / Sans rire s’adorant et s’aimant sans dégoût ; / L’homme, tyran goulu, paillard, dur et cupide, / Esclave de l’esclave et ruisseau dans l’égout ; / Le bourreau qui jouit, le martyr qui sanglote ; / La fête qu’assaisonne et parfume le sang ;”– Le voyage

“Elle n’a que vingt ans ; – la gorge déjà basse / Pend de chaque côté comme une calebasse, / Et pourtant, me traînant chaque nuit sur son corps, / Ainsi qu’un nouveau-né, je la tette et la mords, / Et bien qu’elle n’ait pas souvent même une obole / Pour se frotter la chair et pour s’oindre l’épaule, / Je la lèche en silence avec plus de ferveur / Que Madeleine en feu les deux pieds du Sauveur. / La pauvre créature, au plaisir essoufflée, / A de rauques hoquets la poitrine gonflée, / Et je devine au bruit de son souffle brutal / Qu’elle a souvent mordu le pain de l’hôpital. / Ses grands yeux inquiets, durant la nuit cruelle, / Croient voir deux autres yeux au fond de la ruelle, / Car, ayant trop ouvert son cœur à tous venants, / Elle a peur sans lumière et croit aux revenants.” – Je n’ai pas pour maîtresse une lionne illustre

“Cette femme, morceau vraiment miraculeux, / Divinement robuste, adorablement mince, / Ton mensonge m’enivre, et mon âme s’abreuve / Aux flots que la Douleur fait jaillir de tes yeux !”– Le masque

“Je te frapperai sans colère / Et sans haine, comme un boucher, / Je suis la plaie et le couteau ! / Et la victime et le bourreau ! / Je suis de mon coeur le vampire”– L’Héautontimorouménos

“Pour certains esprits plus curieux et plus blasés, la jouissance de la laideur provient d’un sentiment encore plus mystérieux, qui est la soif de l’inconnu, et le goût de l’horrible. C’est ce sentiment, dont chacun porte en soi le germe plus ou moins développé, qui précipite certains poètes dans les amphithéâtres et les cliniques, et les femmes aux exécutions publiques. Je plaindrais vivement qui ne comprendrait pas.”– Choix des maximes consolantes sur l’amour

“Je te hais autant que je t’aime! / Ainsi je voudrais, une nuit, / Quand l’heure des voluptés sonne, / Vers les trésors de ta personne, / Comme un lâche, ramper sans bruit, / Pour châtier ta chair joyeuse, / Pour meurtrir ton sein pardonné, / Et faire à ton flanc étonné / Une blessure large et creuse, / Et, vertigineuse douceur! / À travers ces lèvres nouvelles, / Plus éclatantes et plus belles, / T’infuser mon venin, ma sœur!”– A celle qui est trop gaie

Il écrit également à sa mère, madame Aupick, en 1860 : « j’espère toujours pouvoir dominer, me venger, pouvoir devenir impunément impertinent… », et à Narcisse Ancelle : « J’ai pris une jouissance particulière à blesser, à me montrer impertinent, talent où j’excelle…”Ou encore “Toujours le goût de la destruction. Goût légitime, si tout ce qui est naturel est légitime.” (Journaux Intimes). Baudelaire prend plaisir à être le bourreau qui détruit les femmes. Il éprouve une jouissance sadique à regarder l’agonie, à en être l’auteur, et il ne s’en cache pas. Il écrit ses crimes et le plaisir qu’il éprouve face à ceux-ci. Il écrit son plaisir de dominer mais également de frapper et de tuer des femmes.

LES SADISTES PROSTITUEURS MISOGYNES S’ADMIRENT, SE COOPTENT, SE SERRENT LES COUILLES

“Indépendamment de toute imprégnation livresque ou trop exclusivement littéraire, l’amitié de Poulet-Malassis et de Barbey d’Aurevilly, tous deux grands sadistes, la connaissance probable des travaux scientifiques de Brierre de Boismont et jusqu’à la lecture de la Gazette des Tribunaux, tout devait orienter la curiosité de notre auteur vers les inconnus de l’amour criminel.”– Le sadisme de Baudelaire Barbey d’Aurevilly, ami de Baudelaire est un sadiste qui a notamment écrit “Le bonheur dans le crime”, une de ces nouvelles dans les diaboliques. Baudelaire admirait le sadiste Pétrus Borel (« Pétrus Borel fut une des étoiles du sombre ciel romantique.”) qui a lui-même écrit : “un honnête homme a toujours dans sa poche un volume du Marquis de Sade.”Avec Barbey d’Aurevilly, il a été un grand pourfendeur de George Sand, courageuse écrivaine féministe parmi une myriade d’hommes misogynes qui sont les plus lus et reconnus. Comme en témoigne ses lignes qu’il écrit dans Mon coeur mis à nu :“La femme Sand est le Prudhomme de l’immoralité. Elle a toujours été moraliste. Seulement elle faisait autrefois de la contre-morale. Aussi elle n’a jamais été artiste. Elle a le fameux style coulant, cher aux bourgeois. […] Elle est bête, elle est lourde, elle est bavarde ; elle a dans les idées morales la même profondeur de jugement et la même délicatesse de sentiment que les concierges et les filles entretenues.” Baudelaire, était le traducteur et l’ami du nécrophile Edgar Allan Poe. Une partie de son œuvre détaille son plaisir pervers à la contemplation morbide de femmes mortes. Alors que Poe écrit : “Le plus beau sujet du monde est la mort d’une jeune femme”, Baudelaire nous donne à voir son admiration pour ce sociopathe : “La première fois que j’ai ouvert un livre de lui, j’ai vu, avec épouvante et ravissement, non seulement des sujets rêvés par moi, mais des phrases pensées par moi, et écrites par lui vingt ans auparavant.” Tout comme lui, Baudelaire ne cache pas sa nécrophilie. Dans Une Martyre, nous comprenons que pour ce tortionnaire, les femmes décapitées sont un objet de désir. Il exprime d’ailleurs très clairement son envie de la violer : “L’homme vindicatif que tu n’as pu, vivante, / Malgré tant d’amour, assouvir, / Combla-t-il sur ta chair inerte et complaisante / L’immensité de son désir ? / Réponds, cadavre impur ! et par tes tresses roides / Te soulevant d’un bras fiévreux, / Dis-moi, tête effrayante, a-t-il sur tes dents froides / Collé les suprêmes adieux ?”Dans son poème “Une nuit que j’étais près d’une affreuse Juive”, Baudelaire mêle sa nécrophilie à son antisémitisme.“Comme au long d’un cadavre étendu, / Je me pris à songer près de ce corps vendu / À la triste beauté dont mon désir se prive. / Je me représentai sa majesté native, / Son regard de vigueur et de grâces armé, / Ses cheveux qui lui font un casque parfumé, / Et dont le souvenir pour l’amour me ravive. / Car j’eusse avec ferveur baisé ton noble corps, / Et depuis tes pieds frais jusqu’à tes noires tresses / Déroulé le trésor des profondes caresses.”

Ses récits nous font penser à ceux de Caubère qui se branle sur les images des charniers de la Shoah. Ils ressemblent également à ceux de Sade, mais aussi à ceux d’Apollinaire, ou encore ceux de Maupassant. On y voit des sociopathes, des fous, des sadiques, des sadistes, des violeurs, des prostitueurs, des tortionnaires, des criminels. Le lien qui unit ces frères est la haine des femmes, des enfants et des autres animaux.

La fraternité TUE. L’école enSAIGNE la mizoogynie !

Brûlons les Sadistes !

Barbara Pélissié, Rémi Gojard, 15 novembre 2021

#BurnSade

Maupassant est un sadiste :https://boucherie-abolition.com/…/maupassant-est-un…/

Apollinaire est un sadiste :https://boucherie-abolition.com/…/apollinaire-est-un…/https://malaises.hypotheses.org/965