
MAUPASSANT EST UN SADISTE !
Maupassant partage son admiration de Sade avec Flaubert : « Maupassant pouvait très bien se passer d’un mentor pour s’initier à l’éthique de ce marquis prétendument divin. Il s’en rencontra pourtant un : Flaubert ! Le maître de Croisset découvrit Sade à dix-huit ans pour lui vouer un culte idolâtre, et singulier, jusqu’à son dernier soupir. » (Psychopathologie de Maupassant par Gérard Galérant : https://www.biusante.parisdescartes.fr/…/HSMx1991x025x0… )
L’influence de Sade va être considérable sur les écrits de Maupassant :
APOLOGIE DU MEURTRE, ET NOTAMMENT CELUI DES ENFANTS :
« Sade exècre les enfants, ces « larves humaines ». Il préconise de tout mettre en œuvre pour éviter la conception, à commencer par la sodomie, l’homosexualité et l’avortement. S’il naît, on peut le tuer sans remord, même s’il a dépassé l’âge de raison. Ainsi, « Moiron » met en scène un maître d’école qui assassine ses élèves avec des bonbons au verre pilé. Dans « La confession », un père fait mourir son fils afin d’épouser une riche héritière conformément au principe de Sade qui incite à tout sacrifier au plaisir et au profit. Même scénario dans « L’armoire » où une fille séquestre son petit garçon dans un meuble exigu pendant qu’elle reçoit sa clientèle. Avec « Le saut du berger » on voit un prêtre exalté précipiter du haut de la falaise deux amants qui s’étreignent dans une roulotte, procédé anticonceptionnel d’une efficacité indiscutable. Parfois, le drame se limite à l’abandon qui est une mort civile : « Le petit », « Monsieur Parent », « Humble drame », « Le père », « L’abandonné », « Un parricide, « Duchoux », « L’inutile beauté », « Mouche », par exemple » (Psychopathologie de Maupassant par Gérard Galérant)
APOLOGIE DE LA TORTURE ET DU VIOL :
« D’autres récits sont vraiment sadiques où Maupassant met en scène des enfants qui torturent ou tuent leurs parents. Nous retrouvons ici « La philosophie dans le boudoir » lorsque Eugénie, à l’âge où les jeunes filles comme elle font du canevas, suture le sexe de sa mère tout en l’injuriant en des termes qui ne tolèrent pas la citation, tandis qu’Augustin la sodomise et que Dolmancé se prépare à lui inoculer la vérole. Si nous poursuivons notre inventaire, la liste des scènes de viols et de perversions sexuelles est interminable ; je me borne à citer : « La femme de Paul », « Monsieur Jocaste », « La chevelure », « Un cas de divorce », « Un soir », où chaque fois se rencontrent tous les ingrédients de la cuisine du marquis. » (Psychopathologie de Maupassant par Gérard Galérant)
APOLOGIE DE LA HAINE DES FEMMES :
« Quant aux femmes, il en est peu envers qui Maupassant manifeste la moindre pitié. Là encore, nous retrouvons Dolmancé à qui Eugénie demande comment il considère celles qui servent à ses plaisirs. Sa réponse est sans détour : « ce sont des objets absolument nuls ; pourvu que je sois heureux le reste m’est tout à fait égal ». C’est le thème exposé dans « Le préjugé du déshonneur » : « la seule loi qui importe, c’est celle du plaisir de l’homme » – écrit-il, tout simplement. Inutile de rappeler à quel point la conduite de l’auteur rejoint celle de ses héros. Et là, une fois de plus, le disciple suit son maître, le Flaubert de vingt-huit ans qui écrit : « L’amour, c’est un besoin comme un autre. C’est comme une envie de pisser, n’importe comment il faut que ça sorte. Qu’on l’épanché dans un vase d’or ou un pot d’argile, le hasard seul nous procure les récipients ». Voilà qui surpasse les déplorations à propos de la femme-objet ! Dans le droit fil de la philosophie de Sade nos deux compères ont découvert la femme-récipient et nous savons qu’ils s’en sont servis au hasard des rencontres. Maupassant choisissait ses partenaires comme viande à l’étal d’un boucher et les naïades vaseuses de la Grenouillère agrémentaient le plat du jour d’un peu de poisson plus ou moins frais. » (Psychopathologie de Maupassant par Gérard Galérant)
MAUPASSANT EST UN SADISTE DANS SES ÉCRITS COMME DANS SA VIE !
Et encore une fois l’homme ne peut pas être séparé de « l’artiste ». L’influence de Sade sur Maupassant n’est pas que « littéraire » et sa vie privée le démontre.
LES SADISTES SONT DES SADIQUES ! MAUPASSANT ASSASSIN !
« Qu’il se soit intéressé à Sade au-delà d’une simple curiosité de dilettante, nous en avons la preuve par son adhésion à la Société Sadique des Crépitiens que le Parquet fit interdire à la suite d’un décès suspect ». (Psychopathologie de Maupassant par Gérard Galérant) La « Société des Crépitiens » présidée par Guy aussi appelée la « Société des Maquereaux » était un club de prostitueurs violeurs sadiques. Lorsqu’un des ses collèges de la Marine voulu l’intégrer, Maupassant et ses amis le violèrent en le masturbant avec des gants d’escrime tout en lui enfonçant une règle dans le rectum pour lui « donner une leçon ». Il en mourra quelque jours après… Maupassant avait la conscience tranquille et fier de lui, il écrit à ses amis en parlant de sa victime qu’il appelait « moule à b » : « Grande nouvelle!!!! Moule à b… est mort !!!! Mort au champ d’honneur, c’est-à-dire sur son rond-de-cuir bureaucratique, vers trois heures, samedi. Son chef le demandait : le garçon entre et trouve le pauvre petit corps immobile, le nez dans son encrier. On a eu beau lui insuffler de l’air respirable par les deux bouts, il ne remua pas… On s’est ému à la Marine et on a prétendu que notre persécution avait abrégé ses jours… Je montrerai à ce Commissaire (commissaire aux Délégations judiciaireS) la gueule d’un Président digne de la Société (des MaquereauX) et je lui répondrai tout simplement : des flûtes… J’ai envie d’intenter un procès à la famille pour ne pas nous avoir prévenus qu’il était de si mauvaise qualité. Mort, mort, mort ; que ce mot si court est insondable et terrible ; mort, c’est-à-dire que nous ne le verrons plus; mort, sans blague, il est mort, mort. Notre Moule à b. n’est plus. Couik-Kouik. Couique. Couiq. A-t-il fait couiq au moins ? »
MAUPASSANT ZOOCRIMINEL !
« Autre exemple : la réception chez Swinburne, à Etretat, où il avait pour convive un ami – très intime – du maître de maison, et un singe. La conduite des uns et des autres laissa plutôt à désirer et, quelques jours après, le singe fut retrouvé pendu par un domestique jaloux de le voir partager la couche de son patron ! Précisons que la villa de Swinburne s’appelait « Chaumière de Dolmancé » » (Psychopathologie de Maupassant par Gérard Galérant) Dolmancé est une référence à « La philosophie dans le boudoir » de Sade. Dolmancé est présenté comme « le plus débauché des libertins », un psychopathe pour qui tous les crimes sont justifiés tant qu’il sont commis pour le plaisir physique.
MAUPASSANT SEXCLAVAGISTE TUEUR DE FEMMES !
Dans une lettre qu’il écrit à son ami Robert Pinchon, Maupassant déclarait avec fierté infecter de nombreuses femmes prostituées avec la syphilis qu’il était content d’avoir attrapé :« Alleluia j’ai la vérole, par conséquent je n’ai plus peur de l’attraper, et je baise les putains des rues, les roulures des bornes et après les avoir baisées je leur dis “J’ai la Vérole”. Et elles ont peur et moi je ris, ce qui me prouve que je leur suis bien supérieur. »« Seulement deux ans après cet aveu d’une violence effroyable, l’auteur de cette lettre prétendra attendrir le lectorat bourgeois sur le sort d’une prostituée au grand cœur en écrivant la nouvelle Boule de suif, publiée l’année suivante dans le recueil collectif Les Soirées de Médan (Georges Charpentier, 1880). Dans celle-ci, l’auteur exalte le sens du sacrifice de la jeune femme prostituée, qualifiée d’« appétissante » par la voix narrative, et s’amuse à singer l’hypocrisie des classes sociales supérieures vis-à-vis d’elle. Leurs représentants fictifs, après avoir jugé Boule de Suif immorale, puis avoir fait mine de la défendre contre l’officier allemand qui la harcèle pour une passe qu’elle refuse et qui les séquestre par chantage dans un hôtel en pleine guerre franco-prussienne, finissent par lui faire à leur tour une guerre d’usure afin qu’elle se force à coucher avec l’ennemi pour leur délivrance : une dégradation consentie par altruisme dont ils lui font ensuite porter tout le blâme. » (Mouvement du Nid : https://mouvementdunid.org/…/maupassant-et-la…/ )
MAUPASSANT LE CRIMINEL SADISTE EST GLORIFIÉ !
Comme pour tous les autres, la gloire de ce sadiste n’a été possible que par la cooptation d’un cercle de bitards. Flaubert et Zola bien sûr qui ont contribué à sa célébrité.La Bibliothèque de la Péliade qui est l’éditeur officiel des sadistes (Sade, Apollinaire, Maupassant, etc.)D’autres sadistes contribueront à sa diffusion en créant des biographies, bandes dessinées, pièce de théâtres et films à son effigie.
L’ÉDUCATION NATIONALE ENSEIGNE LE SADISME :
Guy de Maupassant (1850-1893) est aujourd’hui considéré comme un classique de la littérature française et est enseigné chaque année dans les collèges, lycées et universités. « Or, il serait grand temps de s’interroger sur les agissements de ces éducateurs sanctifiés que sont les auteurs classiques dont nous recevons notre instruction et de les remettre en perspective. Les pourfendeurs de l’« hypocrisie bourgeoise » ne peignaient-ils pas leur propre reflet ? Et dans la dénonciation de sa « bien-pensance », ne se rachetaient-ils pas une vertu à peu de frais ? » (Mouvement du Nid).
COMMENT FAIRE POUR QUE LES HOMMES ARRÊTENT DE NOUS TUER, DE NOUS VIOLER, DE NOUS TORTURER, DE NOUS ACHETER QUAND LES SADISTES ET LE SADISME SONT ENSEIGNÉS ??????LA « CULTURE » FRANÇAISE EST SADISTE !!!
Brûlons Sade ! Brûlons Maupassant ! Balançons tous les Sade !!!
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