
A chaque fois que l’expression fossilisée « bienêtreanimal » est agitée c’est systématiquement l’écran de fumée qui cache la torture et l’assassinat. Le mal nommé « welfarisme » procède par inversion sémantique est désigne obligatoirement le malêtre des victimes de l’husbandry , otages des maîtres possesseurs persécuteurs. Tout ce qui prétend œuvrer au « bien être » confisque le droit à être et surtout à ne pas naître pour les esclaves de chair dont l’extermination est pérennisée par les viols inséminatueurs. Le mâlêtrisme donc c’est la domination des hommes sapiens sur les zootres. Toute réforme mâlêtriste entérine la légitimité du spécisme et la culture mizoone . L’actuel « welfarisme » est un spécisme dans les multiples cercles concentriques que possède la haine séculaire pour les zoopprimé.es. L214 est un lobby qui travaille contre la révolution animaliste, pour le maintient d’un esclavage réformé, d’un holocauste high-tech. De tout temps les luttes éthiques ont été parasitées par ceux qui -au nom du moindre mal – choisissent le mal comme l’énonce Hannah Arendt .
« ARTICLE L214 DU CODE RURAL : Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce.« . Ainsi, une association prétendant œuvrer pour l’intérêt des autres animaux revendique dans son nom éponyme la légitimité de l’esclavagisme : depuis quand la normalisation de la propriété d’individu.es par d’autres individus relèverait d’un progrès éthique pour le peuple des zoopproprié.es ? Depuis quand être le bien d’un autre n’est pas le scandale éthique que l’animalisme doit combattre ? Si les autres animaux sont des « êtres« , comment peuvent-ils supporter d’être propriété ??? Depuis quand un.e individu.es « doit être placé » ??? Quelle est cette attention sur les « conditions » d’une appropriation ??? Qui sait lire l’énoncé de l’article L214 comme le sophisme pervers qu’il énonce ? Le sapiens étant un animal : QUI le place « dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce« ? Les « impératifs biologiques » de n’importe quel animal ne sauraient être la séquestration car iels sont effectivement toustes sensibles à la torture de l’enfermement . Il ne s’agit donc pas de « placer » les zootres mais de déplacer le fascisme de l’humanimâle hors de la légalité. L’association L214 fait ouvertement parti de la structure mizoone qui pérennise la normalité du spécisme domesticatueur. L’animalisme tronqué par la naturalisation de la possession d’autrui est leur volonté politique affichée, martelée, décomplexée. Il ne faudra plus s’étonner que le très misogyne Sébastien Arsac calomnie la résistance femelliste la taxant de « consternante » quand elle affronte un sociopathe décapiteur de tête de vache, ce même monstre n’ayant quand à lui aucun qualificatif négatif de la part du copain des husbands zesclavagistes. Quand on œuvre à la « protection animale » on ne se départit pas du paternalisme des maîtres possesseurs…Car c’est la persécution des victimes zoonimales qu’il faut combattre prioritairement à leur « protection« . Et protéger n’est pas approprier . Enfermer n’est pas protéger. La lutte animaliste consiste à faire cesser une violence qui s’exerce à chaque seconde dans le monde par INTERVENTION des approprieurs sur les approprié.es….La lutte animaliste c’est la dépatrimonialisation des zoonimaux retirés du joug de l’humanimâle , l’affranchissement des zesclaves des mains criminelles des geôliers . Les domesticatueurs étant les profanateurs privés de la santé publique. Les approprieurs -dont le sexiste Sébastien Arsac– espécisent les autres animaux pour mieux invisibiliser leurs propres privilèges de propriétaires d’autrui, approprieurs de truies, husbands de la boucherie de l’husbandry … La lutte animaliste a pour objectif l’affranchissement des zootres par abolition du statut d’appropriable. La lutte animaliste doit combattre le sexospécisme du lobby L214 qui très logiquement pactise avec les violeurs de porno comme William Burkhardt et les fadaises criminelles mille fois rabâchées d’un Frédéric Lenoir qui veut « ralentir les cadences » des camps d’exécutions… Une structure criminelle est faite d’acteurs criminels et les mâlêtristes en sont aussi les acteurs. Car filmer la violence quand on peut techniquement l’interrompre c’est devenir collaborateur du crime…
Les criminels mâlêtristes domesticatueurs moralisent des prisons à ciel ouvert que leur mizoolecte nomme »refuges« quand la séquestration ne saurait être de l’ordre du réconfort , et « sanctuaires » où l’emprizooneur prend la place d’un dieu …C’est pour l’enfermement du chasseur qu’il faut œuvrer, pas pour la normalisation de l’enfermement des chassé.es…S’approprier l’existence d’autrui tout comme les husbands de l’husbandry , aménager la propriété des zootres approprié.es : les éleveurs de douleur et les réformateurs de persécutions œuvrent dans la même cours des mâles dominateurs…Que tout mâlêtriste prenne la place des conditions qu’il prône comme amélioration et le concept de « bien être » cessera d’être usurpé comme vernis moral à des pratiques criminelles.
Dézoobéir !
Solveig HALLOIN, 12 juin 2021

