
99, 8% des animaux assassinés le sont pour la bouche de l’animal humain. En sachant qu’il n’y a nulle nécessité à avaler le corps de personne pour être soi-même en vie et en excellente santé il apparaît que la viande est une futilité gustative criminelle et tortionnaire. Modifier génétiquement pour faire naître pour tuer dans le but de créer l’avalement par autrui est une perversion fondamentale dont il convient d’abolir la légalité.
La zoophagie doit être interdite de toute urgence et son usine de chair que représente l’élevage aboli dans les traités de droits internationaux . Le zoocide perpétuel est une institution totalitaire qu’il faut défaire dans les plus brefs délais. A chaque seconde les victimes augmentent puisque la machine de leur production tourne à plein régime selon la tradition de la mise en souffrance et en mort méthodique jamais interrompue de l’holocauste.
Boucherie=Boucherie, c’est-à-dire que le terme d’usage qui signifie l’apogée d’un massacre violent et sanglant de nombreuses personnes , la tuerie de nombreux animaux, a pour référence lexical ce qu’il veut ignorer comme carnage initial: l’étal des assassinats , les corps démembrés et dépecés d’individus émotionnels se retrouvent à vendre tel un commerce du crime décomplexé.
D’autre part , le système naixterminateur, autrement appelé “élevage”, de sa production d’Animaux Génétiquement Modifiés par génotypages et viols sériels, à la séquestration concentrationnaire, sexage, désenfantement, empoisonnement , mutilation , persécution , déportation et exécution des abattoirs enfreint directement la loi « Article R655-1Le fait, sans nécessité, publiquement ou non, de donner volontairement la mort à un animal domestique ou apprivoisé ou tenu en captivité est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la 5e classe. (…)1 500 euros au plus pour les contraventions de la 5e classe, montant qui peut être porté à 3 000 euros en cas de récidive lorsque le règlement le prévoit, hors les cas où la loi prévoit que la récidive de la contravention constitue un délit. »
L’élevage constitue l’industrie de la domestication . L’élevage maintient en captivité dans des camps de concentration d’engraissement, de lactation et d’oviparité des millions d’individus.Les abatteurs lobbyistes sont donc des multi-récidivistes qui doivent actuellement s’acquitter de 3000 euros pour chaque animal tué volontairement. A raison de 3 millions d’assassinats par jour en France , les assassins commanditaires que sont entre autre Nestlé , Bigard , Lactalis doivent donc entre autre s’acquitter de 9 000 000 000 d’euros par jour à L’État français qui -s’il n’applique pas sa législation – sera lui même inquiété .La société civile exige que ce délit non appliqué soit transformé en crime puisque la réalité est que l’abattoir abat et que les bouts de chair font l’objet d’une vente profitant à une poignée d’hommes milliardaires.
La société civile exige l’abolition des privilèges de l’espèce animale humaine afin de restituer la justice sociale à l’ensemble des personnes qui la constitue. L’interventionnisme humain eugéniste , violeur , pédocriminel , bourreau et assassin doit disparaître au nom de l’abus de pouvoir que constitue la possession d’outils de sa force et /ou d’ascendance par la force.
Le Droit vient de la désobéissance et la société civile est prête à désobéir à toutes les lois injustes . Mais c’est l’ actuel État qui désobéit à ses règles sur le droit à la dignité de la personne, sur la non condamnation des actes de cruauté , la non assistance à personne en danger , le crime eugéniste, le crime de viol et l’interdit du meurtre.
Nous portons plainte par le présent acte contre L’État français, la cour européenne et les plus grandes instances internationales pour crime contre l’animalité et marchandisation des corps assassinés. Humains, nous exigeons l’arrêt immédiat de l’holocauste perpétuel des autres animaux, des droits pour les victimes du carnage zoophage , l’abolition le la nexploitation de l’élevage et du commerce du meurtre ! Il est temps que la loi mette fin à la guerre infinie que nous menons contre des innocents. La civilisation ne peut continuer à feindre le souci éthique en mâchant la souffrance , en mangeant les membres de ses membres plutôt que d’en prendre soin . L’intégrité physique du corps de tous les animaux doit devenir un droit inaltérable.
Nul ne peut dire qu’il ignore l’hécatombe en cours , de sa programmation perpétuelle dans les laboratoires blancs , à sa lente agonie dans les cages merdeuses , jusqu’à l’effroi des cascades de sang. Nous sommes des animaux , cessons d’en être les bouchers.
Solveig Halloin, 14 janvier 2017