INRAE : SCIENCE SANS CONSCIENCE & PANTIN DES INDUSTRIES AGRONAZIES

INRAE : SCIENCE SANS CONSCIENCE & PANTIN DES INDUSTRIES AGRONAZIES

L’INRAE (Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement) est créée le 1er janvier 2020 par fusion de l’INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) et l’IRSTEA (Institut national de Recherche en Sciences et Technologies pour l’Environnement et l’Agriculture) [1]. C’est l’INRA avec un E pour Environnent. L’INRA en version verte. L’INRA toujours plus hypocrite : augmenter la productivité de l’élevage tout en « travaillant » également sur le dérèglement climatique, l’épuisement des ressources, la détérioration des sols et la préservation de la biodiversité tout en exécutant des milliards d’autres, prisonnier·es dans les camps de torture.

La mission de l’INRAE est d’« associer science et technologie afin d’améliorer les techniques de l’agriculture et de l’élevage en France ». En d’autres termes, de la « recherche » et de la manipulation génétique sans limite sur des individu·es afin d’augmenter la rentabilité des animaux transformé·es en usines. Les savants fous de l’INRAE ont permis l’intensification de l’esclavage.
Cet organisme d’État est financé par nos impôts et est au service de l’industrie agroalimentaire.

L’INRAE TRAFIQUE DES CORPS…

L’institut criminel recherche le meilleur rendement alimentaire et travaille sur la modification des gènes pour engraisser le plus possible et rentabiliser au maximum le corps des esclaves de chair.
Les dangereux de l’INRA ont créé des usines vivantes d’expérimentation en faisant un trou dans le corps des vaches pour atteindre leur estomac depuis l’extérieur : en 1970 ils ont créé les vaches hublots [2] afin d’observer le fonctionnement du système digestif de la vache. De ce fait, les pathétiques scientifiques ont permis aux éleveurs de douleur de savoir quels aliments donner à leurs esclaves pour les faire grossir rapidement.

Ils ont trafiqué les gènes de cochons, rats, agneaux et autres, pour les rendre fluorescent·es [3,4]. Ils ont « introduit » le gène « sans corne » aux vaches pour faire naître des veaux « naturellement » acères [4] dans le but de protéger les éleveurs de toute rébellion. Ils ont rendu des cochons transgéniques pour les rendre résistants aux maladies respiratoires (dues à leurs effroyables conditions de détention) [4]. Ils ont rendu des poules transgéniques pour les rendre immunes face à la grippe aviaire [4] dont ils sont responsables. Ils ont inactivé le gène codant les protéines responsables des « allergies » au lait de vache ou à l’œuf [4] pour permettre aux humain·es de boire le lait des veaux & manger les ovules des poules. Ils ont inactivé le gène codant la protéine qui contrôle négativement la croissance du muscle chez les cochons, vaches, poissons, moutons et chèvres, obtenant des animaux à « double musculature » [4], donc des animaux difformes, des animaux douloureux, mais des animaux gras, lourds et rentables. Ils ont inactivé chez le saumon, détenu dans les élevages, un gène pour « produire » des individu·es stériles, de sorte à ce que s’iels s’évadent, iels ne causent pas de « pollution génétique » au sein des populations libres [4]. Ils ont fait naître des poules sans plume pour les adapter au réchauffement climatique (si la température dépasse 25° elles réduisent leur alimentation et « produisent » moins) [5] qu’ils créent eux-mêmes en perdurant l’élevage. Ils ont créé des poules qui pondent plus de 250 œufs par an (au lieu de 15 à l’état naturel) en torturant leurs gènes, et en les épuisant avec la lumière artificielle de leurs prisons.

Ils ont torturé génétiquement, physiquement & psychologiquement toustes les zoophagisé·es.

L’INRAE TRAFIQUE AUSSI SES ÉTUDES…

L’INRAE ne trafique pas « que » des individu·es. Mêmes leurs études « scientifiques » le sont…
Elles sont financées par l’industrie de l’élevage, leurs écrits vont donc du côté où l’argent arrive : les entreprises holocaustiennes. L’INRA a remis en cause les condamnations du gavage des canards & oies du rapport européen [6]. L’étude était financée par le comité du foie gras (CIFOG). Également, Jean-Michel Faure, membre de la communauté scientifique à l’INRA, a mené une étude sur « les besoins en espace de la poule pondeuse » [7]. Cette étude sur le « bien-être » des poules en cage a conclu par l’idée que les poules préfèrent les cages [7,8]. L’étude a été financée par les « producteurs d’œufs » de poules en batterie.

Voici un extrait du livre ‘Les poules préfèrent les cages’ d’Armand Farrachi [8] : « Après avoir étudié le comportement des plusieurs groupes de poules, les membres de l’INRA ont constaté qu’elles manifestaient en semi-liberté une tendance à l’agressivité et parfois au cannibalisme, alors qu’en cage elles se contentaient de s’arracher leurs propres plumes. La question ne serait donc même pas de se demander comment une poule parvient à survivre en si dure captivité, mais bien de prouver qu’entre la basse-cour et la batterie industrielle la poule préfère la cage. Il n’y aura bientôt plus lieu de s’étonner […] qu’un être vivant à qui la nature a donné des membres pour courir, des ailes pour voler, un bec pour picorer, lorsqu’il a le choix entre la liberté et la détention, préfère être incarcéré.
Puisqu’il est donc possible de prouver que les poules préfèrent les cages, et aussi, précisons-le, que les veaux préfèrent être enchaînés, tout seuls, dans l’obscurité (faute de quoi ils se piétinent), que les cochons préfèrent être garrottés dans l’ordure (sinon ils s’entre-dévorent), il y a tout lieu de croire que, en y mettant l’application nécessaire, on prouverait tout aussi bien que les otaries préfèrent les cirques, les orques les bassins, les poissons les bocaux, les lapins les clapiers ou les loups les enclos. Allons plus loin. Après des études convenablement menées, certains n’iraient-ils pas jusqu’à prétendre que les Indiens préfèrent vivre dans des réserves, les Juifs ou les Tziganes dans des camps de concentration, que les Noirs préfèrent voyager dans la soute des navires, avec des fers aux pieds et un carcan au cou, ainsi qu’ils en administrent encore aujourd’hui la preuve en préférant s’entasser par dizaines dans des rafiots de fortune pour fuir des pays où, laissés en liberté et livrés à eux-mêmes, ils n’ont que trop tendance à s’entredéchirer ? »

L’INRA et toutes les entreprises de la « filière » élevage ont créé des corps malades, des corps difformes, des corps-usines, des corps-produits. Ils les ont manipulés, trafiqués, torturés. Ils ont privé les autres animaux de toute dignité & leur ont retiré toute individualité pour rendre possible l’impossible : l’appropriation totale de leurs corps. Et enfin, ils ont réussi l’ultime coup de maître : le décervelage. Ils ont réussi à faire avaler au peuple crédule, avec des études fallacieuses, l’imposture que nos alter-égos sont fait·es pour être enfermé·es, violenté·es, oppressé·es et englouti·es.

INRAE Terrorisme d’État !

[1] Naissance de l’INRAE : https://www.inrae.fr/actualites/naissanceINRAE
[2] Vaches hublots : https://www.youtube.com/watch?v=CpMh_4bODA8
[3] Agneau avec des gènes de méduse : https://www.bfmtv.com/…/un-agneau-meduse-s-est-retrouve-dan…
[4] La modification génétique des animaux à l’épreuve de l’édition du génome : https://www.inrae.fr/…/f…/pdf/Avis-12-Comite-Ethique-web.pdf
[5] Poules sans plume : https://www.lefigaro.fr/…/01008-20140221ARTFIG00043-le-poul…
[6] L’INRA redore l’image de la stéatose hépatique des canards & oies : https://stop-foie-gras.com/…/ancien…/inra/INRA-foie-gras.pdf
[7] INRA, 1994. Comportement en bien-être animal : https://www.quae.com/…/978…/comportement-et-bien-etre-animal
[8] Armand Farrachi, 2000. Les poules préfèrent les cages. Quand la science et l’industrie nous font croire n’importe quoi.

Plus d’infos :

· INRA, robinet du sang des abattoirs · Libération de lapines de l’INRA : https://boucherie-abolition.com/…/inra-robinet-du-sang-des-…
· Sauver le bœuf : https://www.ina.fr//video/cpf06020231

Agir :

· Carte de la zoocriminalité : https://drive.google.com/open…
En bleu : Recherche & développement – INRA, Maisons des éleveurs, etc.
En gris : Centres de collecte de sperme, le tout début de la chaine, là où les viols sont quotidiens, avec les espèces violées, les sites internet, adresses précises et autres infos – Elitest, Genes Diffusion, Union Evolution, etc.
En violet : Entreprises de viol (vente de semence) & de génétique – Allice, Evolution, INRA, Genes Diffusion, etc.

Alizée Denis, 1 mars 2020