Les “salons de l’agriculture” sont la promotion du pire des esclavages

Les “bêtes de foire” sont des nesclaves qui souffrent

Le système nesclavagiste invente un lexique pour invisibiliser les violences faites aux animaux “de bouche”. Aussi, alors qu’ils s’agit d’exhiber des nesclaves de chair, le marché du crime s’auto-intitule “salon” afin de glamouriser le permagénocide et appelle “agricole” l’unique promotion de l’élevage, ce système de nexploitation qui consiste à faire subir aux animaux “de ferme” le cumul des violences infligées que peuvent subir des individus.

Naixtermination : Faire naître de façon industrielle pour exterminer de façon perpétuelle.

Nesclaves: esclaves de chair que les nesclavagistes ont fait naître pour assassiner.

Nesclavage: système d’esclavage où la naissance des esclaves est programmée en vue de leurs assassinats.

Nexploitation: système tortionnaire où l’exploitation des victimes sont les corps torturés ou tués des victimes elles-mêmes

Nesclavagiste: esclavagiste qui programme les naissances d’esclaves par eugénisme et viols industriels en vue d’une tuerie.

Nolocauste: holocauste perpétuel des animaux par ingérence sur la procréation pour faire reproduction de robots de chairs dans un génocide perpétuel . Les usines à meurtres sont les camps de persécutions d’engraissement, de lactation et d’oviparité. Les victimes sont appréhendées comme des usines à produire de la viande, du lait et des oeufs, du cuir , de la laine, des plumes, etc…

Mizoogynie : du grec « misos », haine, « zôon », animal, et « gunê », femme : haine des zoonimaux, des femmes, enfants et femelles.

Mizoone/Mizoonie : du grec « misos », haine, et « zôon », animal : haine des zoonimaux.

Natalicide : phénomène de faire naître DANS LE BUT de génocider. L’élevage est la pratique universelle du natalicide. La lutte femelliste a pour objectif d’interdire cette pratique séculaire du zoocide perpétuel par interventions systématiques de viols inséminatueurs. Le natalicide comprend les tortures génétiques, l’équicide des juments qui augmente et synchronise la prolificité des autres femelles appréhendées en incubateurs à chair.


Le suprématisme humain a osé assimiler une personne à la terre afin de lui associer par glissement la normalité d’un droit de propriété. Ainsi “l’agriculture” , “ensemble des travaux dont le sol fait l’objet en vue d’une production végétale” est aussi devenu plus généralement, “ l’ensemble des activités développées par l’homme, dans un milieu biologique et socio-économique donné, pour obtenir les produits végétaux ET ANIMAUX qui lui sont utiles, en particulier ceux destinés à son alimentation.”. Le fascisme humaniste a réussi le tour de force -grâce à son pouvoir de nommer- à mettre l’épi de blé et la génisse dans le même cercle conceptuel. Plus qu’une analogie , il y a superposition entre du maïs et un cochon.Le terme “agriculture” concerne donc la VEGECULTURE ainsi que la NAIXTERMINATION les animaux. De quoi parle-t-on quand on mentionne l”agriculture” ? Comment sortir d’un terme qui englobe une pratique éthiquement neutre et la production d’un génocide ? Se battre pour l’abolition universelle de l’élevage, ce père de tous les esclavages, c’est quitter le lexique des naixterminateurs et nommer le réel de la condition des animaux prisonniers afin de les sortir de leur fonction de bouche. Qu’une pratique nesclavagiste soit contenue dans le terme “agricole” entérine l’idée que des individus animaux aient NECESSAIREMENT une fonction utilitariste pour l’animal humain. Tout en semant l’idée que la “viande”, le lait ou les oeufs sont “utiles à l’alimentation humaine “ce qui relève d’un mensonge caractérisé.

Une fois démonté la supercherie spéciste, il apparaît qu”éleveur” n’est pas un métier mais une pratique criminelle et que les “éleveurs” ne sauraient s’inscrire dans la logique du droit du travail, de la même façon que proxénète ou tueur ne sauraient être intégré comme un métier et bénéficier de syndicats, protections ou subventions.“Éleveur” n’est pas un métier , c’est un crime contre l’animalité. L’État qui légalise un crime de masse perpétuel et subventionne un permagénocide est un État nesclavagiste qu’il faut renverser au plus vite.

Abolissons le règne des nesclavagistes et leurs privilèges de torture sur des millions d’individus.

Archaïsme du servage , les animaux “de ferme” – ces esclaves des champs séquestrés en camps de béton – doivent être émancipés . Nul humain n’est éthiquement en droit de posséder un individu d’une espèce différente, encore moins à des fins de reproduction de chair. Les maîtres éleveurs dupliquent des victimes par millions pour commercialiser leur corps assassinés , prospèrent sur la natalité d’êtres émotionnels considérés comme des patates.

Ni à vendre ni à prendre, les truies SONT pour elles-mêmes.

Solveig Halloin 11 mars 2017, Tarbes

Agricultural shows » are the promotion of the worst slavery.

The « animals of fair » are bornslaves which suffer.

The bornslaver system invents a lexicon for invisibilise violence against food-animals. So, while they involves of showing bornslaves of flesh, the market of the crime auto-is entitled « lounge » to glamourise the permanent genocid and calls « agricultural » the unique promotion of the breeding, this system of bornexploitation which consists in making undergo in the animals « of farm » the accumulation of the violence that individuals can undergo. Bornslaves : slaves of flesh that bornslavers created to murder. Bornslavery : system of slavery where the birth of the slaves is scheduled with the aim of their murders. Bornexploitation : system executioner where the exploitation of the victims are bodies tortured or killed by the victims themselves. Bornslaver : slave driver who schedules slaves’ births by eugenics and industrial rapes with the aim of a slaughter. Bornextermination: create in a industrial way to exterminate in a perpetual way. Nolocaust: perpetual holocaust of animals by intervention on the proocreation to make reproduction of robots of flesh in a perpetual genocid. Factories with murders are the camps of persecutions of fattening, lactation and oviparity. The victims are arrested as factories to produce some meat, some milk and some eggs, some leather, some wool, feathers, etc…. The human Suprematism dared to assimilate a person to the earth to associate him by sliding the normality of a property right. So « the agriculture », « set of the works of which the ground is the object with the aim of a vegetable production » also became more generally, « the set of activities developed by the man, in a given biological and socioeconomic environment, to obtain PLANT AND ANIMAL products which are useful for him those, intended in particular for his food ». The humanist fascism managed of the tour de force – thanks to its power to name – to put the ear of corn and the heifer in the same abstract circle. More than an analogy, there is superimposing enter some corn and a pig. Thus the term « agriculture » concerns the VEGECULTURE as well as the BORNEXTERMINATION Animals. What are we talking about when we mention « agriculture »? How go out of a term which includes a practice ethically neutral and a production of a genocide? Fight for the universal abolition of the breeding, this father of all the slaveries, it’s to leave the lexicon of bornexterminators and name the reality of the condition of animals prisoners to take out them of their eat-function. That a bornslaver practice is contained in the « agricultural » term confirm the idea that animal individuals have INEVITABLY a utilitarian function for the human animal. While sowing the idea that « meat », milk or eggs are « useful for the human food » what is a characterized lie. Once defused the speceist trickery, it seems that « breeder » is not a job but a criminal practice and that the « breeders » would not know how to join the logic of the labor law, in the same way as procurer or killer would not know how to be integrated as a job and benefit from labor unions, protections or subsidies. « Breeder  » is not a job, it is a crime against the animality. The State which legalizes a perpetual crime of mass and subsidizes a permanent genocid is a bornslaver State which it is necessary to spill as quickly as possible. Let us abolish the reign of bornslavers and their privileges of torture on millions of individuals. Archaism of the serfdom, the « farm-animals » – these slaves of fields held in concrete camps – must be emancipated. No human being is ethically entitled to possess an individual of a different species, even less for purposes of reproduction of flesh. Masters breeders duplicate victims by millions to market their murdered bodies, prosper on the birth rate of emotional beings considered as potatoes. Neither to sell nor to take, sows ARE for themselves.

Solveig Halloin 11mars 2017